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there’s something wrong but you are not right + soren

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Leif Von Rosen
YOU MAY HAVE YOUR SWORD
BUT I HAVE MY BOOKS
Leif Von Rosen

YOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS

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EINN MEð SJÁFLUM MÉR † You don't need to pretend that perfection is your friend. 'Cause we're all broken, we all end up alone. Love your flaws and live for your mistakes. Beauty's on the surface wearing thin, come closer show the marks upon your skin.


ϟ ÂGE : 22 ans
ϟ CURSUS : Politique et justice du royaume
ϟ ALLÉGEANCE : Les Von Rosen
ϟ BUT : Une blonde incapable de rester à sa place.
ϟ EPOUVANTARD : Son frère devenant héritier à sa place.
ϟ PATRONUS : Un corbeau, comme l'animal d'Odin.
ϟ MIROIR DU RISED : La famille Von Rosen régnant sur les mers comme sur la terre.


LOVE IS A REVOLUTION
RELATIONS:
JOURNAL INTIME:
MessageSujet: there’s something wrong but you are not right + soren there’s something wrong but you are not right + soren EmptyVen 27 Juin - 17:07

there’s something wrong but you are not right + soren Tumblr_n7letnu1iv1s7uqdjo5_250there’s something wrong but you are not right + soren Tumblr_n7letnu1iv1s7uqdjo6_250
I’M FIGHTING HEAT BEHIND MY EYES WITH EVERY WORD THAT MAKES ME REALISE. I SEE THE FRAGILE IN REMORSE BUT DO NOTHING FOR THE CAUSE. GOING NUMB TO WHAT SURROUNDS I NEED A THRILL TO KEEP ME BOUND.

▲▼▲

« J’aurais besoin de mon armure d’entrainement, mon épée, un glaive d’entrainement, un bouclier et un casque. Donc, vas chercher tout ça et on se retrouve aux arènes ce soir après mes cours. » Ebouriffant au passage les cheveux déjà bien en bataille de son esclave, Leif attrapa ses livres de cours avant de se rendre à son premier cours de la journée. Du genre un peu distrait en cours, malgré une assiduité irréprochable, le suédois était bien heureux d’avoir son meilleur ami dans la salle de classe. Même si les deux ne s’adressaient jamais directement la parole, il n’était pas rare qu’à l’aide d’un peu d’ingéniosité ils se fassent passer des messages tout au long des heures de cours les plus ennuyantes. Enfermés dans une monotonie parfois lassante, le brun n’était jamais mécontent de voir arriver son esclave avec un ou l’autre papier qu’on lui faisait parvenir ou bien des bouquins dont il avait besoin. Malgré l’indifférence et le mépris qu’il affichait, le jeune Von Rosen ne pouvait s’empêcher de toujours être heureux de voir son ami, surtout lorsque celui-ci arrivait en un seul morceau sans aucune marque de blessure. C’était véritablement un pro de la gaffe et bien souvent, depuis qu’ils étaient à Poudlard, c’était à Leif de ramasser les pots cassés d’une manière ou d’une autre.
La fin des cours ayant sonné, Leif se dirigea naturellement vers les arènes des Romanova. Le jeune Von Rosen aimait bien l’endroit qui lui rappelait certains de ses plus beaux souvenirs, comme sa victoire au tournoi de la Rose ou certains de ses plus beaux combats. C’était tout de même dans les arènes qu’il avait rencontré pour la première fois sa boule de poil préférée. Posant ses affaires de classes sur l’un des sièges des gradins, le brun entra dans le cœur de l’arène pour voir Soren installé à même le sol entouré de tout ce que Leif avait demandé le matin même. Il avait l’air malin à attendre patiemment son maître depuis très certainement un long moment. Un léger sourire aux lèvres, le Von Rosen ne pu s’empêcher de dire : « Je sens qu’on va s’amuser. » Habitué à s’entrainer avec Soren, le jeune homme l’avait malmené gentiment plus d’une fois. Bien souvent, l’esclave se retrouvait à servir d’adversaire de pailles pour Leif. Il donnait des coups dans le vide que le suédois évitait avant de mimer une riposte sans jamais aller trop loin pour ne pas lui faire mal. A plus d’une fois le pauvre Soren s’était retrouvé allongé au sol une lame à côté du visage après s’être lamentablement fait retourner avec une difficulté déconcertante de la part de son maître. Toutefois, Leif avait d’autre plan pour son fidèle esclave ce soir là. Sachant pertinemment que personne n’avait aucune raison de venir aux arènes aujourd’hui, l’ordre dont il était le président ne se réunissant pas et les autres ayant peu besoin de tels endroits, le brun se disait qu’il serait tranquille. Puis, même si quelqu’un arrivait, il pourrait toujours faire croire qu’il était  très simplement en train de s’entrainer avec son esclave lui servant de punching-ball.  Attrapant son plastron en cuir d’entrainement il posa ses yeux sur Soren en lui demandant gentiment de l’aide. L’esclave habitué à devoir répéter ces gestes avant chaque tournoi ou combat de parade, se débrouilla avec une aisance due aux années de répétition. Même s’il n’était pas très bon au début, au final il se débrouillait plus si mal. Une fois qu’il fut prêt, Leif mit son bouclier entre les mains de le né-moldu avant de lui tendre le glaive d’entrainement. Regardant un instant le frêle Soren qui tenait péniblement ce qu’il avait entre les mains, il fit mine de réfléchir avant de dire en lui mettre le casque sur la tête  et de frapper dessus : « Tu as l’air d’un véritable guerrier mon petit. » Enfin, quelques muscles en plus, un maintien plus affirmé et un air moins perturbé sur le visage lui aurait peut-être donné l’air d’un véritable guerrier. L’épée de l’héritier toujours posée dans son fourreau, ce dernier posa ses mains sur les épaules de Soren avant de lui montrer comment se tenir. Donnant un léger coup de pied au pied droit de ce dernier, il le fit légèrement écarter ses jambes pour une meilleur stabilité avant de lui montrer comment véritablement tenir son arme. Cela faisait un moment que Leif avait en tête d’apprendre à son ami comment se battre. Il savait que si qui que ce soit voyait la scène ça serait très certainement mal pris. Mais avec les derniers déboires de l’esclave, il était plus que temps que ce dernier apprenne à se battre de toutes les manières possible.

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Soren (Ingstad)
DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN
I AM A FREE BITCH BABY
Soren (Ingstad)

DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY

Esclave + dans les ombres, au fin fond de l'obscurité, je suis là. je guette et je protège, je sers à jamais. nul doute, fidèle allié, fidèle ami, bientôt je mettrai tout en péril pour te protéger. je m'excuse d'avance du tord que je vais te causer.

ϟ ÂGE : 22 ans
ϟ CURSUS : Aucun
ϟ ALLÉGEANCE : Les Rebelles, pro-nés-moldus
ϟ BUT : Pour le moment personne.
ϟ EPOUVANTARD : L'orage.
ϟ PATRONUS : Il n'en a pas, mais s'il en avait un se serait un loup.
ϟ MIROIR DU RISED : Sa famille.


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MessageSujet: Re: there’s something wrong but you are not right + soren there’s something wrong but you are not right + soren EmptyVen 27 Juin - 19:29



« CERTAINES CHOSES NE DEVRAIENT PAS SE SAVOIR. »
Leif Von Rosen & Soren

Une bonne journée à Poudlard, était une journée sans rapport avec les armes, les combats, les coups ou encore les humiliations publiques. Autant dire qu’elles sont très rares et très précieuses. Soren comprit immédiatement que la journée qui démarrait alors être une mauvaise journée. Voir même une très mauvaise journée. « J’aurais besoin de mon armure d’entraînement, mon épée, un glaive d’entraînement, un bouclier et un casque. Donc, vas me chercher tout ça et on se retrouve aux arènes ce soir après mes cours. » Soren soupira. Leif lui ébouriffa ses cheveux avec un malin plaisir – sachant pertinemment que ce dernier avait horreur de ça – le rendant alors encore moins présentable. Pour autant, Soren inclina sa tête et partit effectuer la tâche donnée par son maître.
Poudlard n’était pas le lieu le plus accueillant au monde, loin de là même pour les esclaves. Mais Soren s’y plaisait mieux depuis qu’il avait arrêté de défendre des jeunes femmes et qu’il se faisait discret. Pour autant, ces derniers temps, cela ne voulait pas dire qu’il se mettait dans des situations périlleuses voir même dangereuses. Et bien que cela déplaise énormément à Leif, ce qui se comprend aisément, Soren n’avait pas toujours le choix. Le pire dans cette histoire c’était que Soren se rendait véritablement compte de la merde dans laquelle il s’était foutu. Non mais qu’on se le dise, Soren se mettait toujours dans la merde et arrive toujours à innover niveau problèmes mais pour autant, là il faisait fort. C’était la première fois qu’il subissait du chantage. Bien qu’il n’y ai rien de réjouissant à cela ! Mais il se rendait compte de l’importance de son maître pour la personne concernée, cela semblait tellement important qu’elle prenait le risque de mettre en péril la vie de l’esclave de Leif sans même savoir qu’en faisant ça, elle ruinait pratiquement toutes ses chances avec le jeune maître – si cela venait à se savoir bien sûr. Enfin, Soren – encore et comme toujours – ruminait ses sombres pensées dans les couloirs de l’école et comme à son habitude, il ne regardait pas où il mettait les pieds – difficile vous me direz quand vous regardez vos pieds – c’est donc logiquement qu’il rentra dans une des personnes circulant dans le couloir. Relevant doucement la tête et s’apprêtant à faire ses plus plates excuses, il se rendit vite compte que l’agitation ambiante n’avait pas changé, la personne en face ne devait être personne d’important. Et ce fut le cas, ce n’était qu’un esclave et d’un maître moins riche que le sien. Soren le prit de haut et s’en alla sans même s’excuser. Oui, il avait son petit caractère.
Arrivé à l’armurerie, Soren demanda l’armure d’entraînement, l’épée de Leif, un glaive d’entraînement, un bouclier et un casque. Le jeune préposé aux armes lui donna absolument tout ce qu’il demandait et les esclaves présents dans la pièce le regardèrent avec pitié pour certain et avec mesquinerie pour d’autre. « Oui j’vais me faire déchirer la gueule, encore. Et alors, vous voulez mon portrait ? » Grommela dans sa barbe l’esclave. Il détestait Poudlard, il détestait encore plus son statut d’esclave mais il haïssait au-delà de tout ça les autres esclaves qui se croyaient mieux que lui sous prétexte qu’ils souffraient plus que lui au quotidien. La plupart d’entre eux sont aussi amochés qu’un casque d’entraînement et son aussi bâté qu’un âne, Soren avait donc du mal à comprendre pourquoi ils se permettaient de penser qu’ils étaient supérieur à lui. Et que, par conséquent, ils pouvaient se permettre de le prendre de haut ou d’être mesquin avec. Aucun d’entre eux ne lui arrivait à la cheville, il le savait pertinemment. Ou le croyait. Mais une chose était certaine, Soren était un danger public qui devait rester discret car sous ses beaux yeux et ses airs de gentleman, il était qu’une petite tapette incapable de se défendre. Oui il avait déjà ruiné un esclave, une fois. Mais généralement, c’était lui qui se faisait refaire le portrait. Chose déplaisante me direz-vous, mais dans ce monde et dans cette école, le jeune esclave avait fini par s’y faire.
Au final, malgré son lourd chargement et sa difficulté à tout tenir, sans rien faire tomber, Soren arriva sans encombres aux arènes, où il s’assit dans le sable avec tout le matériel demandé. Il prit la peine de nettoyer un temps soit peu l’épée de Leif, sachant pertinemment qu’elle allait très vite être sale à nouveau. Mais au moins, ça passait le temps. Soren – à cet instant – songeait qu’il serait plus judicieux pour Leif de s’entraîner avec un nombre incalculable d’autres esclaves. Il imaginait très bien la scène et s’en régalait d’avance. Voir son maître ruiné ces esclaves prétentieux lui plaisait énormément. Il n’entendit Leif qu’au dernier moment, quand il pénétra dans l’arène. La première chose qu’il nota ? Son sourire narquois. Leif était tout, sauf prévisible mais ce sourire-là, Soren l’avait déjà croisé un nombre incalculable de fois et s’il avait bien retenu une chose, ça signifiait que Leif allait s’amuser. Autrement dit, il allait vraiment souffir.
Au final, Leif lui demanda de lui mettre le plastron d’entraînement, ce qu’il fit avec habitude et rapidité. Les années de pratique servaient enfin ! Dire que les débuts avaient été difficiles est peu dire. Au début, Leif ressemblait plutôt à un sapin de Noël et au fil du temps, il avait fini par ressembler – de loin – à un combattant. Mais avec le temps et le travail de son esclave, son allure s’améliorait nettement.
Chose surprenante, aujourd’hui Leif lui mit son casque sur le crâne – qui était trop grand pour le jeune esclave – le bouclier dans une main et le glaive dans l’autre. Ridicule ? Soren était bien pire que ça à cet instant précis. « Tu as l’air d’un véritable guerrier mon petit ! » S’exclama le Von Rosen en frappant le casque. « Façon polie de me dire que j’ai l’air d’un véritable imbécile ? » murmura l’esclave, il avait trop peur qu’on le surprenne à répondre à son maître – chose absolument pas tolérée. Au final, Soren regardait Leif et le glaive avec une mine déconfite à en faire rire Hati. Pour autant, Leif prit son petit air mi-sérieux mi-mesquin, lui posa les mains sur les épaules et lui fit écarter les jambes. Oui, bon tout ça commençait à prendre une tournure sérieuse. Soren ne le sentait pas du tout. « Tu sais, si tu voulais me refaire le visage, tu n’avais pas besoin de t’encombrer de politesse, de glaive et de casque, ta ceinture aurait largement suffit. » Dit-il en examinant bouclier et glaive, les pieds soigneusement placés là où Leif les avait mis. « Je le sens pas du tout, mais vraiment pas du tout. » Marmonna le jeune esclave dans sa barbe. Il ne savait absolument pas ce qu’avait Leif en tête, mais le connaissant cela allait être un grand moment. Après tout, on savait tous pertinemment que Soren mettait la misère à son maître en combat régulier. Oui, tous les jours.
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MessageSujet: Re: there’s something wrong but you are not right + soren there’s something wrong but you are not right + soren EmptyDim 29 Juin - 15:25

there’s something wrong but you are not right + soren Tumblr_n7letnu1iv1s7uqdjo5_250there’s something wrong but you are not right + soren Tumblr_n7letnu1iv1s7uqdjo6_250
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L’attachement que Leif éprouvait vis-à-vis de Soren était quelque chose d’un peu incompréhensible. Même si ses parents avaient acceptés la chose, tant que le brun, ne s’affichait pas avec son esclave, ces derniers ne comprenaient pas forcement. Pour le jeune Leif de l’époque qui venait de rencontrer Soren, ça n’avait pas d’importance. Les yeux du brun avaient toujours vu le monde différemment que la norme. Le Von Rosen n’avait pas la pureté d’âme, la bonté de cœur des rebelles. La cause des esclaves l’indifférait, mais son esclave ne l’indifférait pas. En grandissant, s’attacher avec Soren fut d’une simplicité effarante pour le serdaigle. Lui qui avait bien peu d’amis sincères, trouvait chez celui qui lui servait d’ombre un support infaillible. Ils n’étaient, au final, que deux face d’une même pièce. La thèse et l’anti-thèse. En un sens, selon Leif, si les places avaient été inversées, être l’esclave de Soren aurait surement était la meilleure chose possible pour lui. Malheureusement pour l’esclave de l’héritier, sa vie n’était pas aussi paisible en permanence qu’elle ne l’était avec son maître. Il le savait, son maître le savait et aucun des deux ne l’avait jamais nié. C’est pourquoi Leif veillait tant sur son ami de toujours. C’était pourquoi il avait tant de mal à le punir lorsque ses gaffes devenaient incontrôlable. Les liens unissant le brun à son esclave était l’une de ses plus grandes forces. Malheureusement pour le jeune homme, ainsi qu’à son plus grand dam, il s’agissait aussi de sa plus grande faiblesse.
Comme deux bons amis, Leif adorait se moquer gentiment de Soren, le charriant de tant en tant en s’amusant des réponses mordantes de l’esclave qui n’avait pas sa langue dans sa poche. Armant son ami, comme ce dernier en avait l’habitude lors de compétitions officielles, le jeune suédois ne pouvait s’empêcher d’avoir l’air amusé en voyant le frêle Soren tenir un glaive. C’était une image peu courante. Surtout que, si Leif savait se battre, le pauvre Soren semblait bien frêle et peu à même de se servir d’une arme. C’était bien pour ça que l’héritier voulait que son esclave apprenne à se battre, même si son ami faisait de son mieux pour tenir tête à son opposant, il faisait rarement le poids. Certes, arracher l’oreille d’un autre esclave avait montré qu’il avait le potentiel d’un dur à cuir, mais la majeure partie du temps il se faisait casser la figure. Chose qui, même si Soren ne l’admettait jamais devant son maître, ennuyait fortement ce dernier. Plutôt que de dire de but en blanc au jeune esclave ce qu’il avait prévu pour lui, Leif s’amusait plus à laisser la tension monter pour son ami qui devait très certainement craindre le pire. Frappant le casque de ce dernier, un peu trop grand pour sa petite tête de moineau, il ne pu s’empêcher de commenter cette vision risible de Soren en guerrier pas très effrayant. « Façon polie de me dire que j’ai l’air d’un véritable imbécile ? » Riant face au murmure de son ami, le brun le bouscula légèrement un sourire amusé aux lèvres. L’esclave peu maître de son équilibre tituba un instant en tentant de contrebalancer les poids du glaive et du bouclier avant de retrouver son précieux équilibre. Travaillant la dessus, Leif le mit en une meilleure position pour tenir sur ses jambes. Si Soren n’avait pas une force physique explosive et ressemblait plus à une crevette hors de l’eau, ce dernier devait miser sur autre chose pour écraser ses opposants. Naturellement, le serdaigle, habitué à se battre et a affronter des adversaires de tous types, songea que l’avantage de la crevette lui faisant face ne pouvait être que sa vitesse. « Tu sais, si tu voulais me refaire le visage, tu n’avais pas besoin de t’encombrer de politesse, de glaive et de casque, ta ceinture aurait largement suffit. » Même si Soren ne l’avait pas dis méchamment, l’héritier suédois apprécia moyennement la remarque. S’il devait utiliser sa ceinture, c’était toujours en dernière recours et avec beaucoup de remords que le sorcier le faisait. Et, tout autant que sa faisait du mal à l’esclave passé à tabac, ça ne plaisait pas à son maître obligé de lui infliger ça. Malgré tout, Leif garda son sourire en coin tout en lui répondant en jouant au plus malin : « Si j’avais voulu te mettre une raclée, j’aurais pris la peine d’amener un public. » Se mettant face à l’ersatz de guerrier trônant au milieu de l’arène, le Von Rosen se retenait d’éclater de rire face à son ami qui était bien loin de l’image qu’on se faisait d’un combattant sur le point de se battre. Face à Leif, comme toujours, Soren faisait pale figure. Il avait l’air trop petit, trop frêle, trop faible. Alors que son maître, son plastron en cuir préparé sur mesure, son épée au pommeau représentant l’animal familiale et son maintien altier rendait bien plus distingué.
Avec mesure et une habitude marquée, Leif dégaina son épée alors que Soren le fixait de son air de pauvre animal perdu qui n’avait rien demandé. « Je le sens pas du tout, mais vraiment pas du tout. » Le Von Rosen entendit à peine ce que l’esclave grommela dans sa barbe. Jouant un peu avec son épée, la faisant tourner naturellement dans sa main en voyant Soren s’apprêter au pire, il lui donna quand même un indice pour qu’il puisse se préparer. « A ta place, je m’accrocherais bien à mon bouclier. » Ecarquillabnt les yeux, Soren fit comme son maître venait de dire alors que dans un mouvement parfaitement exécuté Leif abattait son épée sur son ami. Dans une meilleure position que précédemment, le bouclier levé en l’air bloqua l’arme de l’héritier alors que le frêle brun ne s’était pas écrasé au sol. Fier de sa petite démonstration, Leif passa une main dans ses cheveux avant de dire tout en regardant son ami : « Si tu ne veux pas t’écraser au sol et être une proie facile, tu dois toujours faire attention à comment tu places tes pieds. Ton équilibre est très important. » Soren semblait un peu perdu, toujours agrippé à son bouclier comme s’il s’agissait de la seule chose le gardant en vie. Le jeune serdaigle n’avait pas l’habitude de donner ce genre de conseil à son esclave. Même s’il lui avait appris bien des choses, le jeune homme n’avait jamais songé qu’il lui était important d’apprendre à son ami l’art de ce battre. Néanmoins, il se rendait compte ces derniers temps qu’il avait eu tord. Serrant un peu plus fort la poignée de son arme, Leif l’abattit à nouveau sur Soren, qui comprenant qu’il allait surement devoir supporter ça un moment se protégea instinctivement. La lame de l’épée entailla légèrement le bouclier qui avait déjà servi à bien des reprises, toutefois la seule chose que le combattant voyant c’était les pieds de son adversaire bien à vue. A l’aide de son pied gauche, Leif balaya le pied de son ami qui s’écrasa dans le sable lourdement. Rengainant son arme, il posa un genou à terre un sourire amusé aux lèvres. « Je crois que t’as vraiment besoin que je t’apprenne comment te battre. »
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MessageSujet: Re: there’s something wrong but you are not right + soren there’s something wrong but you are not right + soren EmptyMar 1 Juil - 9:04



« CERTAINES CHOSES NE DEVRAIENT PAS SE SAVOIR. »
Leif Von Rosen & Soren


Leif et Soren. Soren et Leif. Le maître et l’esclave. Deux amis. C’était une situation assez étrange de savoir que dans un monde aussi horrible et tourné vers l’esclavage, un maître et un esclave pouvaient être amis. Le pire dans ce genre d’amitié, d’amitié cachée, c’était le quotidien. Ce quotidien, passé à mentir, à vérifier ses arrières, à faire attention à chaque geste, à chaque parole, à chaque comportement, toujours vérifier qu’on ne laisse pas d’indice, qu’on ne laisse rien paraître, toujours. Certains jours, Soren en voulait au monde entier de devoir se cacher, de devoir garder pour lui la meilleure chose qui lui soit arrivée. Et d’autres jours, il remerciait le Ciel de lui avoir donné autant alors qu’il ne le méritait certainement pas. Mais à cet instant, Soren ne savait pas s’il devait insulter ou prier le ciel pour l’instant passé avec son ami de longue date. Bien que jamais Soren ne crache sur un peu de temps passé avec son ami, il n’appréciait pas pour autant de se faire malmener. Enfin, il réfléchit deux minutes à sa position inconfortable, à son casque trop grand, à son bouclier bien usé et se dit que ça pouvait être pire, ben oui, il aurait pu être juste en caleçon.

Soren avait son propre humour, mordant et régulièrement sarcastique, il avait bien conscience que parfois Leif ne disait pas que ça ne lui plaisait pas mais en ce moment, il se rendait bien moins compte de ce qui passait ou ne passait pas. Ainsi il ne surprit pas le voile qui se posa sur les yeux de son maître à sa vanne, les deux n’appréciaient pas d’en arriver à de tels extrêmes, mais comme beaucoup de choses, il n’avait pas vraiment le choix. « Si j’avais voulu te mettre une raclée, j’aurai pris la peine d’amener un public. » Soren leva les yeux vers Leif, regarda autour de lui et s’avoua vaincu. Ils étaient bel et bien seuls donc il ne s’agissait pas d’une remontrance suite à l’une de ses innombrables gaffes. C’était déjà une bonne chose !
Le temps était clément, le soleil tapait haut dans le ciel, mais pas trop pour en devenir inconfortable, le sable sous ses pieds étaient pareil à celui qu’il avait connu dans la ville portuaire dans laquelle il avait vécu, il y a de cela des années mais à une différence près qu’il semblait un peu plus rouge. Et bien qu’il ne fasse pas extrêmement chaud, Soren commençait à se réchauffer. Constamment stressé ces derniers temps, il était devenu bien plus méfiant qu’à son habitude, augmentant sa capacité à faire des gaffes, des réflexions idiotes ou mieux encore à ne pas reconnaître des gens importants quand il leur rentrait dedans. Il secoua la tête à cette réflexion, il pouvait s’estimer heureux que Leif ne soit au courant de rien. Bien qu’il n’avait pas tendance à s’énerver très violemment comme d’autres maîtres, la tempête calme qui faisait office de sa colère était bien plus menaçante et flippante aux yeux de l’esclave.

Pendant que le jeune suédois grommelait dans sa barbe en s’inquiétant du pire, le Von Rosen jouait avec son épée et se tenait bien droit, le rendant encore plus menaçant. Le jeune esclave écarquilla les yeux, commençant à se demander à quoi jouait son maître et s’attendant – comme à son habitude – au pire. «  A ta place, je m’accrocherai bien à mon bouclier. » Il n’eu pas besoin de le répéter deux fois à Soren, s’aggripant à celui-ci comme s’il n’avait plus que ça au monde, il reçut le choc de l’épée contre le bois de son bouclier avec un calme tout ce qu’il y avait de plus relatif. « Il veut me tuer, c’est ça, me zigouiller. » Murmura-t-il sous l’onde de choc qui parcourut son corps après le coup d’épée. « Si tu ne veux pas t’écraser au sol et être une proie facile, tu dois toujours faire attention à comment tu places tes pieds. Ton équilibre est très important. » Soren, sur le coup de cette remarque, abaissa légèrement son bouclier – sans pour autant désserer sa prise dessus – et se mit à réfléchir à la réflexion de son maître. Mais diable pourquoi lui disait-il ça ? Ce dernier abattit une nouvelle fois son épée sur le bouclier de l’esclave, sans le désarmer ni le faire tomber. Perdu dans ses pensées, il ne remarqua même pas que l’héritier était en train d’attaquer. Son pied gauche se fit balayer comme jamais et il retomba lourdement sur son postérieur sans même s’être rendu compte qu’il avait été, pendant un instant, en danger. Leif posa un genou à terre, à côté de Soren « Je crois que t’as vraiment besoin que je t’apprenne comment te battre. »
Soren secoua sa tête et s’assit sur ses coudes. « M’apprendre à me battre ? » S’il y avait bien une chose que le jeune homme adorait c’était apprendre. Il dévorait les livres, s’extasiait devant des choses simples et adorait se remplir la cervelle de choses plus ou moins utiles. Les moments passés avec son maître à apprendre toutes sortes de choses ont été les plus beaux moments passés. Un large sourire éclaira le visage du jeune esclave, qui se remit difficilement sur pied, à l’aide de son maître. Ca promettait ! Pour autant, Soren comprit très vite que si Leif venait à lui apprendre à se battre – chose qu’il n’avait encore jamais faite – ce n’était pas pour la beauté d’apprendre quelque chose mais bien parce que le jeune esclave avait tendance – plus que d’habitude – à se mettre dans de sacrés pétrins. « Et s’il savait. » Se surprit-il à penser. C’était peut être de ça qu’il s’agissait au fond, lui apprendre à se battre pour comprendre pourquoi il se mettait dans de nombreux pétrins en ce moment ? Soren ne savait pas. A vrai dire, il n’avait jamais réussi à décoder Leif, autant son entourage ou des personnes qu’il croisait au quotidien, il y arrivait pleinement mais Leif avait toujours une idée derrière la tête, ce qu’il disait n’était pas toujours – ou pas entièrement du moins – ce qu’il pensait. Et bien évidemment chaque action cachait une réflexion et un plan. Leif ne faisait rien d’inutile ou de futile, il y avait toujours une bonne raison. Sur ses gardes, Soren se concentra sur la tâche en cours, il ne devait absolument pas laisser la moindre ouverture à Leif, tant physiquement qu’oralement, sinon il allait faire une bourde et tout les Von Rosen allaient en payer le prix, chose qu’il ne se pardonnerait jamais.
Soudain, une idée germa sous le crâne du brun. « M’apprendre à me battre, ça veut aussi dire m’apprendre à frapper au bon endroit ? » allait-il pouvoir titiller son maître ? Bon avec seul un bouclier, il avait toujours de l’espoir, mais rien que ça le faisait déjà sourire de manière, eh bien, incongrue.
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ϟ BUT : Une blonde incapable de rester à sa place.
ϟ EPOUVANTARD : Son frère devenant héritier à sa place.
ϟ PATRONUS : Un corbeau, comme l'animal d'Odin.
ϟ MIROIR DU RISED : La famille Von Rosen régnant sur les mers comme sur la terre.


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MessageSujet: Re: there’s something wrong but you are not right + soren there’s something wrong but you are not right + soren EmptyMer 2 Juil - 23:47

there’s something wrong but you are not right + soren Tumblr_n7letnu1iv1s7uqdjo5_250there’s something wrong but you are not right + soren Tumblr_n7letnu1iv1s7uqdjo6_250
I’M FIGHTING HEAT BEHIND MY EYES WITH EVERY WORD THAT MAKES ME REALISE. I SEE THE FRAGILE IN REMORSE BUT DO NOTHING FOR THE CAUSE. GOING NUMB TO WHAT SURROUNDS I NEED A THRILL TO KEEP ME BOUND.

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Même s’il s’amusait de son esclave, Leif n’avait jamais volontairement été dégradant à son égard. Certes, une fois ou deux dans la demeure des Von Rosen le brun avait été forcé de donner des corvées en plus né-moldu pour racheter ses fautes. Cependant, l’héritier était loin d’être aussi impitoyable et gratuitement mesquin qu’il pouvait l’être avec certaines personnes qu’il était forcé de croiser à Poudlard. Bien au contraire, au contact de son esclave, le jeune homme se montrait bien plus sympathique, prévenant et conciliant qu’il l’était avec quiconque. L’attachement qu’éprouvait Leif pour Soren était particulier. Il lui arrivait encore de dire que de trouver l’esclave sur la place de Stockholm avait été une chance inouïe, un coup du destin même. A croire qu’ils étaient voués à se croiser, à croire que le monde les avait mis sur la route l’un de l’autre pour qu’ils puissent accomplir de grandes choses. Et jusqu’à ce jour, Soren dans l’ombre, Leif profitant à la lumière, les deux n’avaient pas déçu le destin qui les avait lié. Ils savaient où étaient leur places respectives et agissaient en conséquence. Le plus honorable des deux, sans nul doute, était l’esclave qui vivait par procuration, se contentait de ce que son maître avait le droit de lui laisser et arrivait à vivre à travers lui. Ils se chamaillaient souvent. Souvent pour des conneries comme un costume, si oui ou non il faisait assez froid que pour porter une couche de plus ou encore savoir la meilleure manière de nettoyer une arme. En fait, ils étaient la plupart du temps incapable de se mettre d’accord. Ainsi revenait à Leif la dure tâche d’avoir le dernier mot pendant que Soren se mettait à bouder comme un enfant. S’ils avaient le droit de s’afficher sans attirer de problème au Von Rosen, le monde extérieur aurait surement observé d’un regard étonné cet étrange duo que les deux jeunes hommes formaient. Ils leur arrivaient d’avoir des allures de vieux couples et ce n’était surement pas la seule chose étrange à leur sujet. Là où une majorité de sorciers pensaient que rien ne pouvait se créer avait réussi à se former une amitié incroyable.
Amitié qui comptait énormément aux yeux de Leif, même si ce dernier n’en avait jamais rien dit. Il n’était pas du genre à s’épancher sur le sujet. Vraiment pas doué avec les sentiments, l’héritier suédois comptait sur le fait que ses proches s’en rendent compte plutôt que d’avoir à faire preuve de faiblesse en s’épanchant sur ce qu’il ressentait. Il espérait que la manière dont il traitait son esclave lui témoignait l’affection qu’il lui portait. Il fallait dire que le brun lui avait appris plein de chose. Lui prêtait des livres et faisait de nombreux impairs pour le regard océan de celui qu’il considérait son ami. Voila pourquoi aussi aujourd’hui il espérait pouvoir lui apprendre à se battre. Leif avait, en quelque sorte, éduquer Soren. Lui apprenant ce qu’il y avait à savoir sur le monde extérieur, lui apprenant de nombreuses choses auxquels il n’aurait pu se confronter avec un autre maître, aujourd’hui il lui offrait la possibilité de se débattre dans la masse. Il lui offrait les armes pour se défendre avec ses poings là où son mental était depuis bien longtemps plus qu’armé. « Il veut me tuer, c’est ça, me zigouiller. » L’épée du Von Rosen pressée contre le bouclier que tenait Soren, le guerrier aguerri souriait amusé. S’il avait voulu tuer son ami cela ferait longtemps que ce dernier serait en train de se vider de son sang dans le sable. Leif préféra s’amuser encore un peu de son pauvre esclave qui se torturait les méninges pour comprendre où il voulait en venir plutôt qu’arrêter ses réflexions en lui donnant la solution. L’attaquant une nouvelle fois, c’est avec autant de simplicité que pour voler à un enfant son hochet qu’il arriva à faire tomber le jeune esclave au sol. Malgré lui, l’héritier s’amusait de voir son ami allongé et totalement démuni avec son bouclier. Lui qui avait appris dés son plus jeune âge à se battre s’étonnait toujours de la frêle condition physique du brun allongé ainsi que de ses faibles capacités au combat. Il fallait dire qu’il existait un monde de différence entre l’héritier et le né-moldu. Si les places avaient été inversées, il serait certainement celui des deux allongés au sol et incapable de se servir d’une arme. A défaut de pouvoir changer le monde, le destin et leur passé, il pouvait aider son ami à se débrouiller avec une arme ou ses poings. Il fallait dire que ce dernier en avait désespérément besoin. Surtout depuis qu’il semblait perdre la tête et péter les plombs sans raison de temps à autre.
« M’apprendre à me battre ? » Un sourire amusé aux lèvres, Leif hocha tranquillement la tête alors que Soren encodait lentement l’information. C’était la première fois que le maître proposait à son esclave de lui apprendre à se battre. Il fallait dire que c’était peu commun comme proposition. La plupart des esclaves devaient certainement apprendre à se servir de leurs poings en plein milieu de l’action, apprenant de leurs erreurs et développant des capacités au fur et à mesure. Vu que ça n’avait pas l’air d’être le cas pour Soren, le Von Rosen devait s’en charger. Bien sur, Leif ne prenait pas cet apprentissage à la légère. L’idée ne lui était pas venue sous l’effet de l’ennui. S’il le faisait c’était pour une raison et son esclave n’était pas dupe. Une des qualités qu’il appréciait énormément chez le jeune homme à la crinière brune totalement indomptable. Lui tendant la main, il l’aida à se remettre sur ses pieds avant de lui prendre le bouclier des mains pour le faire rouler un peu plus loin. Il ne s’agissait là que de l’entrée en matière, désormais il allait lui apprendre à se servir de ses poings. De toute manière, Soren n’était absolument pas prêt à apprendre à se défendre avec un bouclier et une épée. Sa piètre tentative était plus éloquente que n’importe quelle mot. « M’apprendre à me battre, ça veut aussi dire m’apprendre à frapper au bon endroit ? » Lachant quelques éclats de rire sincère, chose rare pour le Von Rose qui était mesuré la majeure partie du temps, ce dernier leva les yeux au ciel en souriant amusé. Comme souvent avec son ami, il posa sa main sur le casque de ce dernier, ne pouvant pas ébouriffer au loisir sa chevelure, avant de le secouer légèrement. « Une chose à la fois la terreur des bacs à sable. Essaye déjà d’arriver à me toucher avant de vouloir me mettre au tapis. » Se mettant en position, les poings tendus devant lui, Leif invita le jeune homme à en faire autant. Regardant Soren qui s’était intuitivement placé en fixant son maître, il modifia légèrement la position de ses épaules avant de se remettre face à lui. Lui faisant signe de viser son épaule, il regarda le brun donner un coup très mou avant de sourire en le bloquant sans aucune difficulté. « Vu que tu es léger, mais ne possède pas extrêmement de force, l’important pour toi c’est de frapper vite et à plusieurs reprises. » Lui montrant comment décocher son coup droit, s’arrêtant à quelques centimètres de sa mâchoire, il lui indiqua de recommencer l’exercice comme il voulait. Certains auraient très certainement pensé que c’était une perte de temps de la part de Leif d’essayer d’enseigner quelque chose à son idiot d’esclave. Surtout qu’il pouvait, au loisir, lui donner une bonne raclée selon l’envie. Néanmoins, le Von Rosen avait toujours eu très à cœur de voir son ami évoluer hors des limites qu’on avait posé pour lui. « Quand tu trouves une brèche, il faut que tu t’y enfonces. Tape autant de fois que tu peux, aussi fort que tu peux. Tu pourrais casser l’os et c’est la meilleure chose à faire pour avoir l’avantage. » Pour sur, Leif n’avait pas appris ce genre de choses à travers les tournois aseptisés auxquels il était obligé de participer pour dorer le nom de sa famille. C’était dans l’ordre des vaillants combattants qu’il avait appris ce genre de choses. Comment taper où ça faisait mal, comment mettre hors d’état de nuire quelqu’un et comment faire couler le sang si abondamment qu’on peut en avoir l’estomac retourné. Ici, le brun désirait juste aider Soren à se défendre un peu mieux que ça n’avait été le cas jusqu’à présent et il espérait bien y arriver rapidement.
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Soren (Ingstad)
DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN
I AM A FREE BITCH BABY
Soren (Ingstad)

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Esclave + dans les ombres, au fin fond de l'obscurité, je suis là. je guette et je protège, je sers à jamais. nul doute, fidèle allié, fidèle ami, bientôt je mettrai tout en péril pour te protéger. je m'excuse d'avance du tord que je vais te causer.

ϟ ÂGE : 22 ans
ϟ CURSUS : Aucun
ϟ ALLÉGEANCE : Les Rebelles, pro-nés-moldus
ϟ BUT : Pour le moment personne.
ϟ EPOUVANTARD : L'orage.
ϟ PATRONUS : Il n'en a pas, mais s'il en avait un se serait un loup.
ϟ MIROIR DU RISED : Sa famille.


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MessageSujet: Re: there’s something wrong but you are not right + soren there’s something wrong but you are not right + soren EmptyVen 1 Aoû - 12:27



« CERTAINES CHOSES NE DEVRAIENT PAS SE SAVOIR. »
Leif Von Rosen & Soren



«  Une chose à la fois la terreur des bacs à sable.  Essaye déjà d’arriver à me toucher avant de vouloir me mettre au tapis. » Soren éclata d’un rire joyeux, oui terreur des bacs à sable, c’était exactement ça. Il n’avait jamais été doué pour faire du mal, volontairement. Certes, il cachait une nature violente quand il était en colère mais dans un état calme, il était tout bonnement incapable de s’en prendre à quelqu’un. Il ne savait pas vraiment pourquoi, mais c’était le cas. Blesser volontairement n’était pas sa tasse de thé, il préférait largement courir et fuir quitte à se battre pour une cause perdue ou qui n’en valait pas la peine. Etait-il lâche ? En ce qui le concernait, oui. Mais s’il devait protéger une personne qu’il aimait ou à qui il tenait, tout était différent. Là il se battait, coûte que coûte. C’était un sens du devoir et de l’honneur qui lui venait de quelqu’un sans doute, mais il ne savait absolument pas de qui. Soren se mit alors dans la même position que son maître, les poings tendus devant lui, face à Leif. Il lui fit signe de frapper sur son épaule, Soren le fit avec une force de moineau qui effleura à peine le costaud qu’était l’héritier Von Rosen. Ce dernier bloqua d’ailleurs aisément son coup. C’en était déconcertant. Soren avait tout à apprendre, comme un petit garçon. « Vu que tu es léger, mais que tu ne possèdes pas extrêmement de force, l’important pour toi c’est de frapper vite et à plusieurs reprises. » Soren hocha la tête. Il était attentif. Comme à chaque fois que Leif lui faisait part de son savoir et de ses connaissances. Soren adorait savoir des choses, apprendre de nouvelles informations, il possédait une soif insatiable de connaissances. C’était assez étonnant de la part d’un esclave qui a passé sa vie – et qui la passera encore – à servir des personnes plus importantes que lui et pour la plupart extrêmement ingrates envers lui. Pourtant, il continuait à s’intéresser au monde qui l’entourait, à vouloir le connaître.  
Pendant ce temps, l’héritier lui montra comment décocher un coup droit qu’il dirigea et arrêta à quelques centimètres de sa mâchoire. Lui faisant signe d’essayer, Soren essaya. Il s’arrêta à quelques millimètres de la mâchoire de l’héritier, mais il était plus sûr de lui. Sa position était encore instable, le coup était toujours mou mais c’était déjà mieux que tout à l’heure. Petit à petit, Soren prenait conscience qu’il pouvait apprendre à se défendre, qu’il ne serait pas toujours obligé de fuir et qui plus est, qu’il pourrait user des mots comme des armes sans avoir peur de prendre une raclée derrière dont il pourrait ne pas ressortir complètement abîmé. Certes il avait encore beaucoup de chemin à faire, autant en confiance en soi qu’en maîtrise des arts martiaux, mais il y avait un début à tout et Soren était prêt à s’entraîner dur pour ne plus être une petite lavette qui se faisait refaire le visage toutes les deux minutes. « Quand tu trouves une brèche, il faut que tu t’y enfonces. Tape autant de fois que tu peux,  aussi fort que tu peux. Tu pourrais casser l’os et c’est la meilleure chose à faire pour avoir l’avantage. » Soren hocha la tête, mémorisant tous les détails. « Quel endroit est le plus facile d’accès ? Et lequel fait le plus mal ? » Soren ne cherchait pas forcément à être un bon combattant. Cela n’avait même aucun intérêt dans sa position, il devait être rapide et efficace pour s’en sortir. Autant dans la vie de tous les jours que dans l’arène du tournoi. Il ne voulait pas finir en loques et complètement abattu dans les couloirs – comme c’était déjà le cas – ou mort après quelques minutes s’il venait à entrer  dans l’arène. Non, il voulait pouvoir s’en sortir rapidement, frapper efficacement pour laisser en plan l’esclave en face. L’achever rapidement en fait. Ou l’assommer suffisamment pour qu’il puisse fuir. Soren n’avait jamais été patient alors les longs combats pour trouver une faille et être le meilleur n’était pas pour lui. Lui, il voulait de l’action, de l’efficacité et de la rapidité. Quitte à apprendre quelque chose, autant que ça colle à sa personnalité. Toujours concentré, il essaya de se rappeler les différents mouvements qu’il avait déjà vu, aperçu lors des combats, il se souvenait des coups de poings, des coups de pieds, des crochets, des clés de bras et de jambes mais il ne voyait pas comment les enchaîner pour que ce soit efficace, ni comment les utiliser rapidement. « Dis-moi, tu aurais pas une botte secrète que t’aimerais partager avec moi ? » Demanda le jeune esclave avec un petit sourire. « Ou tu as trop peur que je t’écrase facilement ? » Lui demanda-t-il avant de se jeter sur lui, comme un bourrin. Oui ce n’était pas très orthodoxe dans un combat à mains nues, mais il espérait secrètement surprendre Leif. Chose impossible, on s’entend bien là-dessus, mais Soren était encore plein d’espoir et naïf, alors il profitait toujours des moments qu’il passait avec Leif pour se laisser aller. Sachant pertinemment qu’il y avait personne pour les voir, Soren s’était permis une petite effraction à leur règle de conduite. Ainsi il sauta violemment sur son maître avant de déguerpir. Oui il n’était pas totalement fou non plus, rester à portée des coups de Leif n’était jamais une bonne idée.

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Leif Von Rosen
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EINN MEð SJÁFLUM MÉR † You don't need to pretend that perfection is your friend. 'Cause we're all broken, we all end up alone. Love your flaws and live for your mistakes. Beauty's on the surface wearing thin, come closer show the marks upon your skin.


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MessageSujet: Re: there’s something wrong but you are not right + soren there’s something wrong but you are not right + soren EmptyVen 15 Aoû - 15:44

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Leif, contrairement à Soren, avait été formé à être la personne qu’il était. Depuis sa plus tendre enfance l’héritier avait appris, encore et encore, toutes ces choses censées faire de lui une personne capable d’honorer son rang. On lui avait appris à se battre, verbalement, physiquement. On lui avait appris à se tenir, jouer des apparences, s’arranger pour toujours avoir trois coups d’avances sur ses adversaires et ne jamais se laisser prendre par surprise. Toute l’enfance du brun n’avait été qu’une préparation aux exigences de son rang. La force, le savoir n’étaient que des outils pour le jeune homme. Un moyen d’atteindre ses fins. Quant à son esclave, le Von Rosen savait qu’on l’avait surement jeté dans la vie sans plus de cérémonies. L’arrachant aux siens, rompant son esprit pour le rendre malléable afin qu’il rentre dans le moule fait pour les personnes de son type. Les deux étaient entrés dans la vie de manières différentes. L’un avec le monde à ses pieds alors que l’autre devait gratter chaque instant de répit où il pouvait souffler. Ce n’était pas étonnant dans ces conditions que l’un semble tant exceller en tout alors que l’autre était si frêle. Leif ne se sentait pas fier à cette idée. Contrairement aux personnes qu’il pouvait écraser durant les tournois, Soren n’avait pas été formé à rendre les coups. Il n’était rien d’autre que son esclave un peu gauche et maladroit tentant tant bien que mal de trouver un nouveau moyen de s’en sortir lorsqu’il devra recourir à ses poings. C’est pourquoi l’héritier était toujours un professeur patient et conciliant. Ce dernier voulait juste offrir une opportunité à son vieil ami d’être plus qu’un esclave. Une opportunité que le monde lui avait refusée le jour où il fut racheté par les Von Rosen. Il s’agissait surement là d’une bénédiction pour Soren, ce dernier tombant sur un maître juste, mais il s’agissait surtout du jour où sa liberté s’est retrouvée vendue.
« Quel endroit est le plus facile d’accès ? Et lequel fait le plus mal ? » Un mince sourire étira les lèvres de Leif qui s’amusait toujours autant de voir à quel point Soren était un bon élève. Le genre sincèrement intéressé, à l’écoute et toujours désireux d’en apprendre plus. Dans ce cas, il était certain que l’esclave posait ces questions dans le but d’être le plus efficace possible. Contrairement à l’héritier, son ami ne se battait pas pour l’excitation qui en découlait, ni même la beauté du sport. Lorsque l’esclave du Von Rosen en était réduit à utiliser ses poings c’était pour protéger quelque chose. Plus souvent pour sauver sa peau. « Essaye d’atteindre le tibia, si tu arrives à le briser, la personne sera largement déstabilisée. En ce qui concerne l’endroit qui fait le plus mal, tape le plus fort possible au niveau de la trachée, vraiment à la base de la gorge. Si le coup est assez puissant, tu pourrais rompre le larynx ce qui empêchera l’autre de respirer. » Mimant le geste en douceur, Leif indiquait exactement sur la gorge de Soren l’endroit où il devait taper. C’était un coup brutal et surtout dangereux. Le genre de chose qui, s’il se trouvait en situation fâcheuse, pourrait sauver la peau de l’esclave. « Néanmoins, fais attention, c’est un coup qui ne demande pas énormément de force, mais peu tuer une personne. » Le Von Rosen ne prit même pas la peine de mettre plus en garde son ami. Il savait que Soren saurait faire la part des choses et comprendrait que c’est le genre de coup à ne donner qu’en dernier recourt. Loin des coups élégants et bien trop visuellement beau que les combattants se donnaient à la cours lors d’ersatz de tournois. Soren n’aurait jamais l’opportunité d’apprendre tous ces coups, ces parades et autres mouvements snob dont se servaient la majorité des combattants. Il n’aurait jamais l’opportunité de s’en servir dans un combat contre d’autres esclaves. Encore moins dans un combat contre n’importe qui possédant une baguette. Ce que l’esclave avait besoin d’apprendre, c’était à se défendre afin de ne plus être une cible facile. Même si ce dernier avait déjà prouvé par le passé qu’il était prêt à vendre chèrement sa peau. « Dis-moi, tu aurais pas une botte secrète que t’aimerais partager avec moi ? Ou tu as trop peur que je t’écrase facilement ? » Passant une main dans ses cheveux, le regard rieur qu’il porta sur son presque frère voulait tout dire. Amusé par Soren, en un sens Leif avait baissé sa garde, laissé l’opportunité à son esclave de lui sauter dessus. Emporté par l’élan de son ami, le suédois recula de plusieurs pas avant de réagir. Néanmoins, son assaillant avait déguerpi aussi rapidement qu’il était arrivé. « L’effet de surprise est très utile, mais ce n’est pas ça qui te permettra de me résister. » Bondissant en avant, Leif se mis à chasser Soren qui, pas idiot du tout, s’était mis à courir pour fuir son maître. Le sable recouvrant le sol n’aidait pas vraiment les deux jeunes hommes qui se pourchassaient et le Von Rosen pestait après son ami lui jurant qu’il allait lui tomber dessus. Lorsque ce fut le cas, il se laissa tomber sur le sol avec son esclave. Ce dernier immobilisé devait faire face à l’air victorieux de son maître qui semblait avoir plus d’une idée derrière la tête. « En règle générale, je te conseillerais de laisser l’opportunité à l’autre de donner le premier coup afin de l’analyser. Bien sur, en l’évitant. Même si, dans ta position, tu ne peux m’échapper. » Faisant mine de lisser les vêtements crasseux de Soren, gardant ce dernier immobilisé, l’héritier avait l’air plus menaçant de cette manière que s’il s’était mis à proférer de quelconque châtiments qu’il s’apprêtait à lui faire subir. Lorsqu’il s’arrêta, le brun se releva avant d’aider son ami à en faire autant tout en lui disant : « J’espère que tu seras capable de réitéré ton attaque par surprise, parce que si tu n’arrives pas à me toucher ou me déséquilibrer tu seras bon pour polir mon armure et l’entiereté de mes armes. Je suis sur qu’elles sont en train de prendre la poussière. » Pour le coup, Leif taquinait bien son esclave. Si ce dernier devait s’occuper de cette tâche, s’occuper des armes de l’héritier prendrait des jours, une semaine peut-être. Il fallait compter ses armes de combats, celles d’apparats, ses armes d’entrainements, ses diverses armures et celles qu’il s’était procurée car il s’agit d’œuvres d’art. Ce qui était un travail titanesque, surtout qu’en étant membre de l’ordre des vaillants combattants, le Von Rosen salissait toutes ses armes, mais s’en occupait lui-même prétextant que Soren ne saurait s’en occuper. Laissant de l’espace à l’esclave, le brun s’arrêta à quelques mètres de lui pour lui faire mine de s’approcher, lui donner l’opportunité de donner le premier coup. « Une bonne botte secrète, c’est de lancer un peu de sable, de poussière, de liquide dans les yeux de ton adversaire, ça te donnera un avantage certain. » Maintenant, serait il prêt à utiliser une tactique aussi vile contre son maître ? L’idée d’en avoir la réponse amusait énormément l’héritier.
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