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What the hell ?! - Rozen

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Hélios Romanova
BEING BADASS AIN'T EASY
SO MANY JEALOUS BITCHES
Hélios Romanova

BEING BADASS AIN'T EASY  SO MANY JEALOUS BITCHES

ϟ ÂGE : 22 ans
ϟ CURSUS : Politique et justice du royaume.
ϟ ALLÉGEANCE : Pro-esclavage pour le moment.
ϟ BUT : Pour l'instant il n'en a jamais senti.
ϟ EPOUVANTARD : Une cage pleine de solitude.
ϟ PATRONUS : Un sombre-loup.
ϟ MIROIR DU RISED : Du pouvoir et du bonheur. De la liberté aussi.


LOVE IS A REVOLUTION
RELATIONS:
JOURNAL INTIME:
MessageSujet: What the hell ?! - Rozen What the hell ?! - Rozen EmptyMer 9 Juil - 15:02



« What the hell ?! »
Rozen & Hélios ▬You will kneel before me ... Or maybe not.
(c) Myuu.BANG!


Hélios, furieux, se presse dans les couloirs. Dans sa main il tient un parchemin écrit de la main de sa mère en personne et le moins que l’on puisse dire c’est que les nouvelles sont mauvaises. Pour lui en tout cas. Il imagine parfaitement sa mère, un sourire victorieux aux lèvres, écrivant les lignes avec application et supputant certainement que son premier né sera aussi ravie qu’elle par l’annonce qu’elle va lui faire. La date du mariage est fixée. Et l’inéluctable va se produire cet été. Hélios est furieux. Pendant toutes ces années, il pensait que ces fiançailles avaient été plus ou moins oubliées, lui faisant tout pour l’ignorer mais son stratagème n’avait pas vraiment eu l’air de fonctionner. La preuve en était avec la lettre dans sa main. Dire qu’il la connaissait à peine et qu’il allait devoir se marier avec elle. Il prenait tout cela comme un échec et un amer sentiment de déception vint lui étreindre le cœur. Certes, personne n’avait jusqu’ici réussi à conquérir son cœur mais il ne désespéréait pas de trouver un jour celle pour qui il serait prêt à tout. Rocambolesques dans l’âme et surtout envieux de l’histoire d’amour de ses parents, il voulait à tout prix construire quelque chose de solide et avec quelqu’un qu’il aimait. Rêves partis en fumée.
Totalement en fureur,  il arpente les couloirs d’un pas de conquérant. Il prend pour acquis que tout le monde se pousse devant lui et il fait bien : Rien ni personne n’arrête son pas jusqu’ici. Tous s’écartent en constatant certainement combien il serait imprudent de se tenir sur son passage. Mais tout à coup, au détour d’un couloir, c’est le drame. Il percute quelqu’un violemment et se retrouve catapulté contre le mur d’en face, à moitié sonné. L’impact a envoyé l’autre personne s’écraser elle aussi contre le mur. Hélios reprend ses esprits en quelques secondes et se relève encore plus furieux qu’il ne l’était jusqu’ici. En deux pas il est auprès de celui qui a osé se tenir sur sa route… et déchante en constatant que non seulement c’est une fille mais qu’en plus c’est une esclave.
N’attendant même pas qu’elle se relève pour lui demander des explications, il se retrouve dans une rage noire, ayant certainement juste besoin de passer ses nerfs sur quelqu’un. Manque de chance, c’est tombé sur elle et vraisemblablement elle va passer un sale quart d’heure. Les témoins de la scène n’osent rien dire et épient presque discrètement en feignant de retourner à leurs petites affaires alors qu’ils piétinent sur place pour observer le carnage.

« Mais qui est-ce qui m’a foutu une esclave pareille dans les couloirs ? On t’a pas appris à faire attention où tu marches dans ta famille ? Il faut encore qu’on te tienne par la main pour faire ce que tu as à faire sans piétiner les gens ? Espèce de maladroite. J’espère que ton maître va te mettre une bonne raclée quand il saura ce qui s’est passé. »

A peu près sûr de voir ici se terminer l’altercation, Hélios s’apprête à repartir lorsque quelque chose à laquelle il ne s’attendait pas du tout vient interrompre son manège : elle ose lui répondre.
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Rozen (Windsor)
DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN
I AM A FREE BITCH BABY
Rozen (Windsor)

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DIVINE MOVE ϟ Je m'empresse de rire de tout de peur d'être obligée d'en pleurer. rozymion


ϟ ÂGE : vingt-et-un ans.
ϟ CURSUS : awkward turtle option chieuse professionnelle.
ϟ ALLÉGEANCE : les rebelles.
ϟ BUT : endymion, tête de con.
ϟ EPOUVANTARD : ses proches, brûlés vifs.
ϟ PATRONUS : aucun. (faucon)
ϟ MIROIR DU RISED : son peuple, enfin libre.

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MessageSujet: Re: What the hell ?! - Rozen What the hell ?! - Rozen EmptyVen 11 Juil - 6:49



« What the hell ?! »
Rozen & Hélios ▬You will kneel before me ... Or maybe not.
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Elle venait de laisser le prince en plan, une nouvelle fois. Non contente de lui avoir versé son vin sur la tête car elle le trouvait bien trop malpoli et si peu reconnaissants, elle l'avait également bombardé de petits grains de raisins avant de disparaitre dans un tourbillon de tissus et de ricanements. Depuis, elle gambadait tranquillement, le bas léger mais rapide, pour aller retrouver son demi-frère et ses meilleurs amis. Elle se sentait tout de suite mieux quand elle venait d'embêter Endymion et c'était un sentiment qui lui donnait la sensation d'avoir une paire d'ailes dans le dos. Sifflotant tranquillement, elle ne s'attendait absolument pas à ce qu'une grosse brute lui fonce dedans et ne l’envoie valdinguer dans les airs. En temps normal, elle aurait été capable d'éviter une telle attaque mais sa soudaine insouciance l'avait rendue moins prudente. La seule chose qui pouvait la soulager c'était de voir que même si elle était fine et fragile en apparence, lui rentrer sauvagement dedans avait suffit à encoyer l'autre crétin dans un mur. Regardant celui-ci dégueuler sans aucune raison sa haine sur elle – après tout, c'était lui qui lui était rentré dedans et non pas l'inverse – elle finit par lever les mains pour l'interrompre. Il lui cassait déjà les couilles qu'elle n'avait pas – Endymion pouvait témoigner sur ce point "Ohla, mais il va se calmer un peu le grand con." Elle commença tranquillement alors qu'elle le regardait de haut en bas avec insolence. Ses mains venant se reposer sur ses hanches, elle se rapprocha de lui nullement effrayée alors que les gens se mettaient à chuchoter tout autour d'eux. Il faut dire qu'elle était assez connue dans le château non seulement en tant qu'esclave du prince mais aussi, en tant que dernière gagnante du tournoi des épines – une notoriété dont elle se serait bien passé à vrai dire. Même si, honnêtement, elle s'en fichait royalement, n'agissant que comme bon lui plaisait nuit et jour, au grand damn de son maître. "Premio, du con, c'est toi qui m'est rentré dedans. Alors ça serait plutôt à toi de t'excuser de foncer sur les gens comme un boulet de canon. Deuxio, je te rappelle que vous les sorciers vous nous enlevez à nos parents quand on est encore en bambin alors avant de critiquer ma famille, active un peu les neurones que t'as dans ta caboche. Je veux bien que tu sois con mais quand même – y a une limite." Elle continua alors qu'elle commençait à le pousser du doigt sur le torse, pour l'envoyer de nouveau contre le mur – mais avec plus de douceur cette fois-ci. Une fois qu'elle réussit à l’acculer tranquillement, elle se redressa pour plonger ses yeux de nouveau dans les siens. Sa moue boudeuse se transforma en quelque chose de bien plus diabolique alors que ses deux mains venaient se frotter l'une contre l'autre, comme si une idée en tout point diabolique était déjà entrain de se former dans son esprit dérangé "et Terzio, si Endymion osait lever la main sur moi je m'assurerais qu'il soit pris d'une diarrhée incontrôlable pendant plusieurs jours – conjuguée à des vomissements intempestifs. Alors, n'y compte pas trop joli coeur. Ca n'arrivera pas." Oh non, Endymion ne l'avait jamais frappée et ce n'était pas demain la veille que ça allait commencer elle en était certaine. Peut être se doutait-il que la jolie blanche lui rendrait tous les coups avant de le punir sournoisement. Roulant des yeux, elle finit par croiser les bras sur sa poitrine alors qu'elle le regardait de haut en bas comme pour l'évaluer. Et inutile de dire que la note n'était pas très bonne. "Maintenant, c'est à ton tour de t'excuser." Revirement de situations vous avez dit?

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Hélios Romanova
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MessageSujet: Re: What the hell ?! - Rozen What the hell ?! - Rozen EmptyDim 3 Aoû - 8:12


Le simple fait qu’elle lève les deux mains, l’interrompant dans sa tirade, avait interloqué Hélios. D’ordinaire aucun esclave sain d’esprit ne pensait même à interrompre un noble alors qu’il lui parlait. Ils courbaient l’échine et hochaient la tête avec contrition et ce même s’ils n’étaient pas en tort. Tout était dans l’ordre des choses, c’était comme ça et c’était très bien comme ça. Aussi lorsqu’elle ouvrit la bouche et que ses yeux clairs vinrent vriller les siens dans un simulacre de défi, Hélios se retrouva complètement pris au dépourvu. Ce n’était pas une situation qu’il avait l’habitude de gérer, c’était le moins qu’on puisse dire. Et il n’aimait pas l’imprévu. Il haïssait le fait de se trouver impuissant face à un évènement qui le dépassait. Et cet évènement le dépassait complètement. Tellement qu’il reste totalement muet lorsqu’elle commença à déblatérer il ne savait quelles sottises. Arrachée à sa famille ? C’était bien normal quand on était esclave. Et l’appeler Ducon n’était décidément pas à son goût. Il allait attraper sa baguette quand elle posa un doigt accusateur sur son torse, le forçant à reculer. Le dos au mur, son regard se teinta d’un air sournois qui n’était pas trop à son goût et elle en rajouta une couche, mais sur Endymion cette fois-ci –le Prince. Qu’elle ose ainsi parler de lui et de cette manière l’aurait presque amusé. Hélios avait quelque peu du mal avec la famille Peyredragon depuis qu’on lavait forcé à se fiancer avec la petite sœur dudit prince. Aussi imaginer Endymion en proie à des diarrhées incontrôlée le fit-il subtilement rire. Il reprit immédiatement son sérieux lorsqu’elle le somma de s’excuser. S’excuser ? Lui ? à une esclave ? Elle devait être tombé d’un balai pour penser ainsi. Ou se prendre un cognard en pleine poire. Jamais il ne ploierait le genou et s’écraserait devant une esclave, dût-elle être celle d’Endymion Peyredragon.
Son ton se fit soudain d’un froid glacial, comme si toute trace de colère l’avait abandonné alors qu’intérieurement il bouillait de fureur. Ce n’était déjà pas sa journée, elle en avait juste rajouté une couche. Se retrouver ainsi acculé dans un coin par une esclave un peu trop vindicative n’était franchement pas inscrit dans son programme. Il se redressa de toute sa hauteur, la toisant quelque peu. Il ne comptait pas se battre avec elle, quand même pas. Mais il ne comptait pas non plus se laisser faire.

« Je ne suis pas sûr que tu te rende véritablement compte de ce que tu viens de faire esclave »

Il avait insisté sur ce terme avec un mépris non dissimulé. A ses yeux elle n’était rien de plus après tout. Et de surcroît il s’intéressait tellement peu aux esclave qu’il ne l’avait jamais remarqué jusqu’à aujourd’hui. Il était certes tombé des nues en découvrant qu’elle était l’esclave d’Endymion mais ne se serait jamais abaissé à s’excuser.

« Parler de ton maître en ces termes, me menacer et pire m’insulter ? Je crois que c’est l’une des plus grosses erreurs de ta vie. Je ne peux pas prétendre à t’ôter la vie mais crois-moi bien que ça me démange, et pas qu’un peu. Ton insolence te jouera des tours. »

Il sortit sa baguette comme un trophée en l’agitant sous le nez de l’esclave aux yeux clairs. Il était très doué en sortilège, ce n’était pas pour rien qu’il faisait partie du club restreint des combattants de ce château. Malheureusement le statut de l’esclave l’empêchait de faire quoi que ce soit pour la heurter. Il pointa sa baguette sur le visage de celle qui décidément n’avait pas froid aux yeux et lui caressa la joue dans un geste presque tendre. De loin on aurait presque dit qu’ils étaient amis. Presque. Acide, il siffla entre ses dents en bon serpentard qu’il était :

« Mes excuses. Maintenant. Et tu rajouteras aussi des excuses pour la façon dont tu m’as parlé »

Il n’en démordait pas. Et détestait avoir tort.
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MessageSujet: Re: What the hell ?! - Rozen What the hell ?! - Rozen EmptyMer 13 Aoû - 3:57



« What the hell ?! »
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Définitivement, ce sorcier devait être schizophrène pour passer ainsi du rire à la froideur et pendant un moment, Rozen se demanda si elle ne devait pas lui conseiller d'aller consulter un spécialiste. A croire que tous les magiciens avaient un sale caractère – à croire que dans le monde magique, on naissait avec un gros balai dans le cul. Elle était définitivement ravie de ne pas être comme tous ces individus : elle s'auto-frapperait si elle était aussi reloue. Elle roule des yeux à sa remarque en secouant la tête, faisant des grands gestes avec ses bras comme un épouvantail que le vent ferait gigoter dans tous les sens. Intenable. Elle était incapable de rester sans bouger plus de trois secondes. « J'ai un nom, tu sais ? C'est Rozen. Mais tu peux m'appeler 'Grande Déesse Suprême' si tu préfères, ça me va aussi. » Elle répondit avec un sourire moqueur en snapchant ses doigts telle une lady black du ghetto. Nul doute que si son jumeau était là il irait se taper la tête contre un mur en raison de son comportement mais avec les années, il aurait du se rendre compte que la née-moldue n'était pas du genre à s'écraser devant des gros bourgeois à l'ego aussi monstrueux que la tête du prince au réveil. Elle haussa des épaules à ses propos – à ses menaces même – alors qu'elle finissait par se gratter l'oreille, comme si elle ne souciait pas le moins du monde du serpentard face à elle. C'était plus fort que Rozen : elle ne pouvait pas s'empêcher de provoquer les autres et de les pousser à bout – surtout ceux et celles qu'elle ne pouvait pas supporter. Et Merlin qu'il lui cassait les ovaires ce fichu Russe de malheur. « Nan, crois moi la plus grande c'était le soir où j'ai picolé jusqu'au matin après avoir englouti plusieurs marmites de moules --- je te laisse imaginer le résultat. Quand à mon insolence, je te trouve bien gonflé, vahiné. Lequel de nous deux refuse de s'excuser alors que c'est lui qui est rentré dans l'autre ? C'est toi mon coco, pas moi. » Elle grimaça alors qu'un grand sourire narquois venait arrondir la courbe de ses lèvres. Elle ne doutait pas une seule seconde que le brun puisse avoir envie de la prendre et de la jeter par la fenêtre mais s'il ne faisait qu'essayer, il réveillerait une véritable furie chez l'ancienne princesse qui se jetterait sur lui et le réduirait en charpie avec ses ongles et ses dents. Elle ne réagit presque pas quand il sortit sa baguette, se contentant de hausser un sourcil comme si elle avait affaire à un abruti fini – ce qu'il n'était pas, bien sûr. Si Endymion ne lui faisait pas peur avec son morceau de bois, ce n'était pas lui qui allait y parvenir. Le laissant faire, elle finit par tourner la tête pour gober la baguette, qu'elle commença à mâchouiller, la mordillant de ses petites dents et la recouvrant de bave. Continuant à la traiter comme un vulgaire os à moelle, elle conserva son air blasé alors qu'elle répondait finalement au Romanova « Et mon cul, c'est du poulet ? » Nul doute que cela n'allait pas mettre longtemps avant de faire le tour de toute l'école. Et Endycon allait probablement râler de nouveau mais bon, elle avait l'habitude. Et puis – pour une fois – ce n'était pas de sa faute mais celle du russe. Il n'avait qu'à pas être aussi borné, malpoli et péteux. Pour qui il se prenait, hein.

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MessageSujet: Re: What the hell ?! - Rozen What the hell ?! - Rozen EmptyMar 2 Sep - 9:09

Une fureur noire semble s’emparer de lui tandis qu’il ne peut que regarder le manège de cette esclave décidément bien insolente. Elle n’a pas la langue dans sa poche, c’est le moins que l’on puisse dire. Et ces prunelles claires qui le dévisage comme si c’était lui qui avait fait quelque chose de mal, comme s’il avait bien des choses à se reprocher alors qu’en réalité il est plus que dans son droit et n’exige d’elle que ce qu’il exige de tout le peuple asservi : respect et obéissance. Il bout de l’intérieur, Hélios. Sa colère semble dévastatrice et une aura destructrice doit l’entourer en ce moment même mais la petite effrontée ne semble même pas le remarquer. A vrai dire, il n’ose l’avouer mais elle lui coupe littéralement le sifflet cette petite blonde. Autant d’insolence de sa part et le Romanova ne sait plus que faire. Il n’a jamais eu à se retrouver dans ce genre de situation et pour cause : aucun esclave n’ose lui parler ainsi. Il imagine déjà les railleries qui courrons à son intention et il ne peut le permettre. Et de quel droit ose t-elle claquer ses doigts ainsi devant son visage ? S’adresser à lui comme à un subalterne ?

« Grande déesse suprême ? Ce n’est pas la modestie qui t’étouffe dis-moi. Et sois dit en passant, quand bien même je serais dans mon tort, ce qui n’est pas le cas, tu n’es qu’une esclave. Ce n’est pas à moi de me confondre en excuses. Si tu as un problème avec l’ordre établi, c’est avec le Roi qu’il faut en discuter. En attendant je te suggère de rester à ta place. »

Sa baguette pointé sur le visage qu’en cet instant il exécrait, il devait passer ses nerfs sur quelqu’un. Tant mieux si c’était sur elle, son esclave personnelle n’aurait au moins pas de marque. En règle général, c’était sur Elise que ses crises de colère passait et l’esclave arborait dans ces cas là des bleus un peu partout sans que le Romanova n’en ait honte. Après tout ils étaient là pour ça. Véritable punching-ball vivant, il considérait les né-moldus comme étant à sa disposition : vision étriquée qu’on lui avait imposé depuis qu’il était né. Rozen, cependant, n’en démordit pas et pour cause : elle mordit carrément l’objet préféré d’Hélios, ses dents entamant profondément le bois si précieux aux yeux du russe. Avec un glapissement rauque plus proche d’un rugissement que d’un cri il retira la baguette de la bouche de Rozen qui paraissait très fière d’elle et l’assomma encore une fois avec une remarque acerbe. Le bois de la baguette était profondément entamé et même si sa qualité n’était pas entaché, elle était désormais totalement marqué par des marques de crocs de moldus on ne peut plus déplaisants.

« Qu’est-ce que tu es ? Un animal ? »

Les yeux ronds de colère, il ne parvenait pas à y croire –cette satanée esclave venait de ruiner sa baguette magique. Ni plus ni moins. S’approchant de nouveau d’elle, la toisant, il la prit par le bras et la traîna dans le couloir derrière lui en assenant à chaque pas :

« On va voir ce que va en dire ton maître … Quelque chose me dit qu’il ne va pas être euphorique à l’idée que son esclave ose braver l’autorité »

Il n’avait pas le droit de la battre, pas comme ça. Par conséquent, il allait se rendre directement chez le maître de la demoiselle qui devrait la remettre sur le droit chemin. Et même si cette dernière se vengerait en lui préparant un repas immonde qui lui ferait vomir ses tripes, il n’en avait cure : il demandait réparation pour son honneur bafoué. Les doigts enfoncés cruellement dans le bras de Rozen au risque de lui laisser des marques, il la traînait plus qu’il ne l’amenait avec lui voir le Prince. Une seule idée  en tête : réparation.
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