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you are my nightmare. (rozen)

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Siv Von Rosen
YOU MAY HAVE YOUR SWORD
BUT I HAVE MY BOOKS
Siv Von Rosen

YOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS

you are my nightmare. (rozen) Large

« cet amour querelleur, cette haine amoureuse, ce tout créé d’un rien, cette pesante légèreté, cette vanité sérieuse, cette innommable chaos des plus aimables formes. » ϟ Léone.


ϟ ÂGE : 21 ans.
ϟ CURSUS : Arts et Littératures.
ϟ ALLÉGEANCE : Von Rosen.
ϟ BUT : Léone. Ce sera, c'était et c'est Léone. Je suis tout simplement trop aveuglé par mon attirance pour Endymion pour l'avouer.

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MessageSujet: you are my nightmare. (rozen) you are my nightmare. (rozen) EmptyVen 27 Juin - 17:48


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ROZEN & SIV


Ce jour devait être parfait. Il y a de nombreuses années maintenant, nos parents respectifs, à moi et à Endymion, avaient décidé que nous étions fiancés. Saskia avait attentivement suivit la liste des tâches à remplir que je lui avais donné : m’acheter une nouvelle robe, m’acheter une nouvelle barrette pour attacher mes cheveux, préparer un goûter à mettre soigneusement dans un panier et tout ce qui pouvait accompagner une après-midi à passer dans un parc, en mangeant, en buvant et en s’amusant. Bien sur, je n’avais pas oublié le cadeau de mon futur mari, protégé soigneusement dans une boîte aux couleurs de la maison des Peyredragron. Absolument rien ne devait gâcher cette journée, ni l’attitude protectrice de Leif (qui a toujours peur que je fasse une bêtise), ni les oreilles indiscrètes des groupies d’Endymion, ni mon trouble à cause de mes disputes avec Léone, et par dessus tout, je ne voulais même pas entrevoir ne serait-ce qu’un bout de peau de cette Rozen. « Je suis certaine qu’Endymion ne m’attend même plus à l’heure qu’il est. C’est la surprise tu comprends ! Oh Saskia, il sera absolument ravi en découvrant tout ce que j’ai préparé juste par amour pour lui. Tu imagines, le pauvre, il doit être sur son lit avec une mine boudeuse en croyant que j’ai oublié. » Dis-je toute excitée. Je repris de plus belle, répétant inlassablement les mêmes paroles à Saskia, qui ne répondait plus et se contentait de hocher la tête en signe d’approbation. Dans mon fort intérieur, j’espérais qu’il m’embrasserait enfin. Certes, cette relation était officielle aux yeux de tous, mais elle ne le saura jamais vraiment pour moi tant qu’il ne me déclarera pas son amour. Il voulait attendre, pour me protéger, pour ne pas me brusquer, pour faire les choses en ordre selon la tradition et tout un tas d’autres raisons plus honorables les unes que les autres à mes yeux. Seulement, je n’en avais rien à faire, je le voulais lui, simplement. Ces pensées me rendaient morose, elles me laissaient un arrière goût dans la bouche, et je le refoulais toujours. Je n’aimais pas me laisser transporter ainsi, pourtant mon intuition était mauvaise depuis quelque temps. « Madame ? » Je tournais un regard surpris vers mon esclave. « J’ai terminé. Vous vous êtes soudainement arrêté de parler, et vous étiez perdue dans vos pensées. » Rajouta-t-elle. Je la regardais surprise, c’était rare qu’elle parle autant, Saskia était toujours si gentille avec moi. Evidemment, elle n’avait pas le choix par rapport à cette condition mais je décelais quelque chose de plus profond. Toutes les affaires défaites étaient à présent pliées et rangées, le panier était bien garni et décoré, tout était prêt. « Oh. Ce n’est rien. J’étais en train d’imaginer la joie d’Endymion. » Dis-je l’air de rien. Personne ne devait être au courant de mes troubles, même Saskia, qui pourtant partageait ma vie depuis des années. « Tout est absolument parfait ! » Rajoutais-je en prenant le panier, sortant de la chambre, sans accorder un seul regard à mon esclave.
Je descendis les escaliers d’une traite, pressée, heureuse. Les élèves me regardaient surpris de me voir ainsi, sans aucune amie de mon petit groupe pour m’accompagner moi. Zora et moi avons l’habitude d’être toujours suivie de notre petite bande mais lorsqu’il s’agissait d’Endymion, je n’avais besoin de personne. Je ne fis même attention à leurs mines dépitées tellement mon petit nuage de bonheur était confortable. Je frappais trois coups en arrivant face aux appartements d’Endymion. J’attendais patiemment qu’il m’ouvre la porte en priant pour que Rozen ne soit pas là. Je n’avais vraiment pas envie de la voir, elle me mettait toujours en rogne. En plus de cela, je ne pouvais me penser à la tentative d’assassinat et aux tournois lorsque qu’elle était proche de moi, ce qui, pour une raison inconnue, m’était insupportable et me mettait légèrement mal à l’aise. Je soupirai, Endymion était si long à ouvrir, il devait être très déçu. La surprise n’en serait que meilleure ! J’entrouvris légèrement la porte impatiente, mais Endymion n’était là, elle était pas là, seule. « Oh c’est toi. » Dis-je d’un air dégoutée. « Je cherche Endymion. »
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Rozen (Windsor)
DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN
I AM A FREE BITCH BABY
Rozen (Windsor)

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DIVINE MOVE ϟ Je m'empresse de rire de tout de peur d'être obligée d'en pleurer. rozymion


ϟ ÂGE : vingt-et-un ans.
ϟ CURSUS : awkward turtle option chieuse professionnelle.
ϟ ALLÉGEANCE : les rebelles.
ϟ BUT : endymion, tête de con.
ϟ EPOUVANTARD : ses proches, brûlés vifs.
ϟ PATRONUS : aucun. (faucon)
ϟ MIROIR DU RISED : son peuple, enfin libre.

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MessageSujet: Re: you are my nightmare. (rozen) you are my nightmare. (rozen) EmptyMar 1 Juil - 22:34



« SO FUCK YOU ANYWAY »
roziv ▬ you are scum, you are scum and i hope that you know that the cracks in your smile are beginning to show. now the world needs to see that it’s time you should go. there’s no light in your eyes and your brain is too slow. can’t believe you were once just like anyone else. then you grew and became like the devil himself. pray to god i can think of a nice thing to say. but i don’t think I can, so fuck you anyway.




« Je t'emmerde. » Voilà la digne et douce réponse que la jeune fille avait répondu à son soi-disant maître alors que celui-ci partait rejoindre son meilleur ami pour l'après-midi. Il lui avait, bien évidemment, demandé de lui ranger la chambre qu'ils avaient encore saccagé et elle ne se sentait absolument pas d'humeur à le faire. Elle avait la flemme et surtout, c'était de sa faute à lui si tout était encore cassé. Il ne savait juste pas se contrôler et ce n'était pas à elle de ramasser – encore – les pots cassés. Il était donc parti en pétards rejoindre le Blackfyre, la laissant seule ici pour le reste de la soirée. Elle serait bien partie rejoindre Léone mais elle savait que comme les autres amies de l'esclave, il avait des plans pour la journée et cela la rendait terriblement boudeuse. Pourquoi personne ne l'avait invitée ? Ce n'était pas gentil. Quoi que, elle n'était pas vraiment sûr de vouloir partager les activités du Poufsouffle et de cette Cora – peu importe ce qu'ils pouvaient bien faire dans le secret de ses quartiers. Rouspétant, elle avait tout de même pris le temps d'arranger le lit et quelques objets et notamment, le cadre de la reine qu'Endymion conservait toujours à côté de son lit. Un mini portrait de feu sa mère qu'il chérissait plus que tout au monde. Se penchant, elle prit également le temps de respirer l'odeur de la rose qu'il demandait à avoir chaque jour dans sa chambre. Elle savait que le garçon adorait secrètement les fleurs et dans son esprit, c'était pour cette et unique raison qu'il voulait toujours en avoir dans ses appartements. Allant tranquillement se caler dans le salon adjacent à la porte d'entrée, elle commença à traîner sur le canapé en grignotant tranquillement des pâtisseries auxquelles le prince n'avait pas touché de la soirée. Comme quoi, il préférait définitivement les activités physiques interdites au plaisir de manger les meilleurs mets de toute l'Angleterre. Elle ne tiqua pas quand elle entendit la porte d'entrée. Ce n'était probablement pas pour elle que la personne venait et elle n'était pas non plus une secrétaire. Elle grogna légèrement quand la porte finit par s'ouvrir – franchement, c'était ultra malpoli de se faufiler comme ça chez quelqu'un d'autre – et son grognement ne fit que s'amplifier quand elle reconnut la nouvelle arrivante. Soupirant de manière exagérée, allongée sur le sofa, elle regarda de haut en bas la Von Rosen avec un ennui mortel brillant tout au fond de ses prunelles claires. « T'as regardé tout au fond de ton cul, à droite ? » Elle répondit, automatiquement, comme à chaque fois qu'on lui demandait où une personne pouvait bien se trouver. Baillant longuement, un sourire coquin et moqueur vint finalement arrondir la courbe de ses lèvres alors qu'elle plantait son regard dans le sien. « Oh, c'est vrai que c'est encore un terrain inconnu pour lui. Un terrain qu'il n'a pas vraiment envie d'aller visiter. » Se redressant tranquillement, elle se rapprocha d'un pas félin vers la sorcière, elle ne lui laissa pas le temps de répliquer quoi que ce soit qu'elle plongea sa main dans le panier pour en prendre une pomme qu'elle croqua insolemment en retournant vers le canapé avec un plaisir certain, se rallongeant dessus comme si elle était la maîtresse des lieux. « Il est parti rejoindre Aebitch pour  le reste de la journée et il a, d’ailleurs, déjà mangé. Désolée Boucle d'Or, ça sera peut être pour une autre fois. » Elle haussa les épaules en roulant sur le ventre, détaillant la blondinette de haut en bas avec un œil critique. Elle ressemblait à ces nanas qu'elle avait vu dans des films moldus quand elle était petite et qui se préparait pour se rendre à un rendez vous amoureux. Sa déception devait être bien grande à cet instant précis mais elle n'arrivait pas à éprouver de la sympathie pour la suédoise. Après tout, n'avait-elle pas essayé de la tuer ? « Cette couleur ne te va définitivement pas et cette barrette est beaucoup trop tape-à-l'oeil ça fait ultra vulgaire. » Elle commenta, sincère au possible alors qu'elle recommençait à croquer tranquillement dans la pomme comme si de rien n'était. Elle ne l'écouterait probablement pas mais les goûts de Rozen en matière de mode étaient au top niveau et que ça lui plaise ou non, elle avait totalement raison.   
 
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« cet amour querelleur, cette haine amoureuse, ce tout créé d’un rien, cette pesante légèreté, cette vanité sérieuse, cette innommable chaos des plus aimables formes. » ϟ Léone.


ϟ ÂGE : 21 ans.
ϟ CURSUS : Arts et Littératures.
ϟ ALLÉGEANCE : Von Rosen.
ϟ BUT : Léone. Ce sera, c'était et c'est Léone. Je suis tout simplement trop aveuglé par mon attirance pour Endymion pour l'avouer.

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MessageSujet: Re: you are my nightmare. (rozen) you are my nightmare. (rozen) EmptyMer 13 Aoû - 20:54


« Je t’emmerde. » Cette fille était d’une vulgarité sans nom. Elle était tellement exaspérante que je me demandais comment elle avait réussit à survivre jusqu’ici. Endymion n’avait-il donc jamais remarqué qu’elle serait bonne à donner en pâture ?  Avec un soupir, je lui lançais un regard noir. Rozen n’avait pas idée à qui elle s’adressait, dans ce monde je devais être la personne qui la détestait le plus, la seule à avoir tenter de la tuer. Sur des coups de têtes. Très irresponsables. Mais j’avais tout de même essayé, et à cet instant je ne regrettais absolument pas. « Tu devrais faire attention à qui tu parles ainsi, je suis certaine que ta langue te manquerait beaucoup. » Dis-je d’un air hautain. « Quoique, je ne vois pas d’inconvénient à ce que tu continues, au moins je n’aurai plus à t’entendre brayer dès l’instant où te feras prendre. » Rajoutais-je avec un sourire de petite peste. Je détestais littéralement cette fille. A cet instant, la discussion que j’avais eut avec Leif il y a quelques temps ne signifiait plus rien à mes yeux. Garder ses ennemies plus près que ses amis. Je refusais d’avoir un quelconque rapport avec cette être ignoble de près ou de loin. Elle me sortait par les yeux avec se manières de paysannes. Je la vis traverser la pièce et s’allonger sur le sofa. Je retins un cri, l’observant avec des yeux globuleux et désapprobateur. Aucun esclave n’oserait s’allonger sur le sofa d’un noble, c’était un crime de profiter des affaires de son maître, et cette fille prenait des libertés avec les affaires du prince lui-même. Avec mes futures affaires ! Je retins un juron encore une fois, ne voulant pas m’abaisser aussi pas devant les yeux de Rozen, elle en serait bien trop satisfaite. L’esclave blonde ne se démonta pas, elle me regarda de haut en bas avant de continuer. « T'as regardé tout au fond de ton cul, à droite ? » Me dit-elle un peu trop sure d’elle. Une insulte moldue sans en douter une seule seconde tellement la bassesse des propos crevaient les yeux. « Oh, c'est vrai que c'est encore un terrain inconnu pour lui. Un terrain qu'il n'a pas vraiment envie d'aller visiter. » Je ne la regardais même plus, je m’étais avancée dans ma chambre face à la fenêtre. Sa vue me rendait aveugle et l’entendre me rendait sourde. Seulement, les mots qu’elle venait de prolonger me touchèrent plus qu’ils ne l’auraient du. Jamais je ne l’avouerai devant Rozen mais Endymion disait toujours qu’il voulait attendre le bon moment. J’étais grande à présent, notre mariage était officialisé depuis bien longtemps mais il voulait toujours et encore attendre. Parfois, l’idée qu’il ne m’aimait pas comme je l’aimais me traversait l’esprit, je la chassais toujours immédiatement. Dans les toilettes, en vomissant. De plus en plus ces derniers temps. Je fus prise de nausée, voilà une autre chose que je ne montrerai jamais à Rozen. Elle ne me verrait jamais pleurer, elle ne me verrait jamais dans un état aussi lamentable. Je me tournais vers elle avec cet éternel masque sur le visage, je le portais si bien. Personne ne remarquait jamais rien, il ne fallait pas que quelqu’un remarque la moindre faille. Parfois le masque semblait même prendre le dessus sur la réalité, et les mot que je crachèrent à Rozen, je les sortais du fond de mon cœur. « Je n’ai pas l’habitude de mon torcher le cul avec tout ce qui me passe sous la main. Contrairement à toi, je suis beaucoup plus distinguée. » Dis-je en la regardant droit dans les yeux. M’avançant légèrement vers elle, je repris. « Et c’est justement toute la différence entre toi et moi. L’homme que je vais épouser me respecte, comme tous les hommes qui m’entourent d’ailleurs. Ton terrain a toi à surement du être beaucoup plus visité que le mien, après tout, chacun ses principes. » Je fis une pause, en me rapprochant encore un peu plus près.  « Il faut bien que tu t’habitues à vivre comme une trainée puisque tu en seras une toute ta vie. » Rajoutais-je en haussant les épaules.  Je la vis rouler sur le côté, se pavanant sur le sofa. Tellement ridicule. Tellement pathétique. Cette fille se pensait réellement supérieure au autres avec ses manies de petite princesse la ratée, elle n’avait pas compris que c’était moi la princesse ici. « Il est parti rejoindre Aebitch pour  le reste de la journée et il a, d’ailleurs, déjà mangé. Désolée Boucle d'Or, ça sera peut être pour une autre fois. » Je vis toujours mais ne répondit pas. Je posai le panier sur la table de chevet, ignorant royalement le regard de l’esclave. J’attendrai qu’Endymion rentre et nous passerons le reste de la journée ensemble. J’étais certaine qu’il n’avait pas oublié.  « Cette couleur ne te va définitivement pas et cette barrette est beaucoup trop tape-à-l'oeil ça fait ultra vulgaire. » Je tournai la tête vers Rozen à une vitesse spectaculaire. Elle pensait sincèrement me donner des conseils de mode ? Je la regardai de la tête au pied. « Venant de quelqu’un qui porte des haillons ça ne me touche absolument pas. Si tu veux mon avis, c’est toute ta petite personne ridicule qui est "ultra vulgaire". » Dis-je en l’imitant.  
 
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