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rozymion △ these violent delights have violent ends

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Rozen (Windsor)
DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN
I AM A FREE BITCH BABY
Rozen (Windsor)

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DIVINE MOVE ϟ Je m'empresse de rire de tout de peur d'être obligée d'en pleurer. rozymion


ϟ ÂGE : vingt-et-un ans.
ϟ CURSUS : awkward turtle option chieuse professionnelle.
ϟ ALLÉGEANCE : les rebelles.
ϟ BUT : endymion, tête de con.
ϟ EPOUVANTARD : ses proches, brûlés vifs.
ϟ PATRONUS : aucun. (faucon)
ϟ MIROIR DU RISED : son peuple, enfin libre.

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LOVE IS A REVOLUTION
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JOURNAL INTIME:
MessageSujet: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptyMer 25 Juin - 21:38



« « THESE VIOLENT DELIGHTS HAVE VIOLENT ENDS » »
rozymion ▬ my only love sprung from my only hate! too early seen unknown, and known too late! prodigious birth of love it is to me, that i must love a loathed enemy.

(c) Myuu.BANG!



C'était encore arrivé. Depuis combien de temps cela durait ? Des années. Rozen avait perdu le compte des nombreuses fois où le prince et elle avait partagé ses draps. Ou sa douche. Ou même son bureau. C'était presque devenu une routine entre eux : ils se disputaient, il cassait quelques objets, elle lui retournait une gifle et il finissait par écraser ses lèvres pressantes et fiévreuses sur les siennes. Et elle, elle n'avait ni l'envie ni la force de le repousser. Elle savait à quel point c'était mal. Elle savait qu'ils ne devraient pas faire ça, qu'elle ne devrait pas lui céder. Mais c'était plus fort qu'elle : dès qu'elle croisait ses orbes bleus électriques, elle perdait pied. Elle n'était jamais totalement sienne, bien décidée à lui résister et à ne jamais courber l'échine face à lui. Cela lui ferait bien trop plaisir et elle ne pouvait pas se le permettre – non seulement pour elle-même mais aussi, pour son peuple. Elle n'en avait peut être plus le titre ou même la couronne mais elle était toujours une princesse tout au fond de son cœur. Et comme son père le lui disait autrefois, son rang lui donnait une responsabilité, un rôle qu'elle ne pouvait pas éviter. Soupirant, elle se retourna légèrement sur Endymion pour regarder ce dernier dormir paisiblement. C'était toujours la même histoire. Ils faisaient l'amour – ou couchaient ensemble, tout dépendait du point de vue – il s'endormait et elle finissait par partir. Ils n'en parlaient jamais, faisaient comme si rien ne s'était jamais déroulé avant de recommencer de plus belle. Il avait passé un bras possessif autour de ses hanches nues et il la serrait fermement contre lui, comme s'il désirait inconsciemment la retenir, la garder pour lui. Mais elle n'était pas dupe : elle savait qu'il ne la voulait absolument pas là à son réveil, ne serait-ce que parce qu'il ne devait pas assumer ses gestes. Elle savait la vision des sorciers sur les relations charnelles avec les gens comme elle. Ce n'était pas juste sale et illégal – c'était la source de frayeurs sans nom, de croyances folles – tant de choses qui ne semblaient pas atteindre le prince de ce royaume décadent. Elle n’avait jamais senti la moindre hésitation dans ses gestes, dans ses baisers ou même dans ses caresses. Il était même plutôt désireux et décidé, affamé et agressif. Caressant du bout des doigts sa joue, elle finit par retirer lentement son bras de son corps frêle mais musclé pour ne pas qu'il se réveille alors que déjà, elle s'asseyait de dos à lui au bout du lit. D'une main, elle attrapa ses vêtements qu'elle déposa à côté d'elle, déjà prête à se rhabiller pour partir. Nulle doute que comme toujours, elle allait rejoindre les bras réconfortants de son ami Léone, dans la tour des Gryffondors. Celui-ci ne lui posait jamais de question quand elle venait le rejoindre au beau milieu de la nuit. Elle l'appréciait énormément pour ça – nul doute que Hunter lui, l'aurait inondé de ses remarques pour savoir ce qu'elle venait de faire et où elle avait pu être tout ce temps. Soupirant de nouveau en silence, ses yeux furent accrochés par la rose posée sur la table de nuit du jeune serpentard et tout naturellement, ses doigts vinrent effleurer les pétales avec une douceur et une rêverie peu communes. Elle faisait partie des rares personnes à savoir pour la passion du jeune homme pour la flore et bien qu'elle la trouvait surprenante, elle ne pouvait pas l'en blâmer. Voir la rose lui rappela qu'il fallait impérativement qu'elle retourne fleurir la tombe de feu la reine Peyredragon à son retour au château. Elle aimait énormément ces moments qu'elle partageait avec la tombe de la défunte, lui parlant énormément de ce qui faisait sa vie – et notamment, de son fils. Elle avait beau détester le prince la plupart du temps, elle trouvait toujours des choses gentilles à raconter à son sujet à celle qui l'avait mis au monde. Mais pour l'heure, elle devait partir. Elle ne pouvait pas rester là, près de lui, même si une partie d'elle, une partie qu'elle ne préférait pas écouter lui chuchoter que rien ne l'empêchait de prétendre qu'elle aussi, elle s'était endormie. Mais non, elle n'était pas prête pour le drama qui suivrait un tel acte et lus vite elle serait loin de cette chance, mieux elle se porterait. Grognant de nouveau en silence en ne trouvant pas sa petite culotte (What a Face ) elle se pencha en avant pour regarder si elle la trouvait planquée sous le lit du jeune homme.
 
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Endymion Peyredragon
BEING BADASS AIN'T EASY
SO MANY JEALOUS BITCHES
Endymion Peyredragon

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ϟ ÂGE : vingt-et-un ans.
ϟ CURSUS : huitième année, gouvernance magique.
ϟ ALLÉGEANCE : lol, elle est bonne la question.
ϟ EPOUVANTARD : les têtes coupées de sa famille et de ses plus proches amis dansant autour de lui.
ϟ PATRONUS : un faux-con.
ϟ MIROIR DU RISED : sa mère encore en vie, lui effleurant presque sa main du bout de ses doigts fins.


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MessageSujet: Re: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptyVen 27 Juin - 23:29

Son plan est parfait. Tout est calculé et organisé de sorte à ce qu’elle ne se rende compte de rien. Il ne lui faut que quelques minutes pour qu’elle le pense totalement endormie. Mais Endymion ne dort pas. Les yeux fermés, il tâche de garder une respiration régulière alors que déjà, il sent le corps de son esclave bouger contre lui. Elle n’a jamais fini une seule nuit à ses côtés. Et pourtant, il y en a eu, des nuits. Torrides, sensuelles, bestiales, sauvages, elles définissaient le désir que chacun éprouvait pour l’autre et ce besoin viscéral de sentir leur corps contre l’autre. Endymion ne lui avait pourtant jamais interdit de s’endormir dans ses bras. Il n’avait rien dit du tout. Incapable d’assumer pleinement ce qui était l’une des infractions les plus graves dans le monde magique, il ne s’était permis de mettre de véritable mot sur les sentiments qui habitaient son corps. Leur relation était faite de non-dits, de longs regards qui exprimaient plus que la parole ne pouvait le faire. Les baisers qu’ils s’étaient échangés avaient été fiévreux, et contre elle, il s’était senti revivre. Convaincu que c’était également son cas, il ne comprenait pas son besoin de disparaitre dans la nuit pour retrouver les autres esclaves. Il lui offrait de beaux draps et la chance de pouvoir dormir dans ses bras, et elle les refusait. Agacé par ce manque évident de réciprocité, il avait décidé que les choses changeraient dès ce soir. La nuit avait été la même que les autres. Mouvementée. Et puis doucement, il était entré dans son propre rôle. Celui d'un homme fatigué qui finissait par s’endormir contre elle. Ostensiblement, il avait enroulé son bras autour de ses hanches pour la garder contre lui. Il la tient toujours fermement contre lui dans un geste possessif pour la dissuader de quitter ses draps, mais comme à son habitude, elle ne l’écoute pas. Elle n’en fait qu’à sa tête et s’éloigne bien vite de ce lit. Avec la plus grande précaution, le prince ouvre les yeux et réalise qu’elle attrape déjà ses vêtements pour se rhabiller. Elle ne fait déjà plus attention à lui, comme si cette nuit-là n’avait eu aucune importance. Etait-ce réellement le cas ? C’est en tout cas ce qu’il ne cessait de se répéter dès le lendemain lorsqu’il croisait le regard de Siv et qu’elle lui souriait avec la plus grande tendresse. Au fond de lui pourtant, il n’est plus dupe. Il en faudra beaucoup pour qu’il s’avoue avoir été vaincu. Ses sourcils se froncent, un peu intrigué de la voir s’intéresser à la rose posée sur son meuble, avant qu’il n’esquisse finalement un petit sourire. Il prenait soin chaque jour à ce qu’on dépose une rose dans sa chambre. Elle lui rappelle sa mère mais il sait également que Rozen les apprécie beaucoup. Il n’en avait jamais rien dit, jugeant que son geste était déjà un signe beaucoup trop significatif de son intérêt pour elle. Il referme les yeux avant qu’elle ne se retourne pour chercher Merlin sait quoi. Il la sent se rapprocher contre lui et se surprend à espérer qu’elle l’embrasse doucement pour se recoucher auprès de lui, ce qu’elle ne fait évidemment pas. Il se risque à rouvrir les yeux pour comprendre ce qu’elle manigance réellement et se retrouve avec une Rozen complètement nue, la tête perdue sous le lit. Il se racle la gorge pour attirer son attention mais elle ne l’entend même pas, concentrée dans sa tâche. Ce n’est que lorsqu’elle se redresse qu’il décide que la mascarade a assez duré et lui attrape le bras au vol. Bouh. La surprise est totale et si Endymion n’était pas aussi contrarié, la situation lui aurait presque fait rire. Presque. Aucune expression ne se lit sur son visage quand il lui demande d’une voix grave : « Je peux savoir ce que tu es en train de faire ? » Elle bouge dans tous les sens, elle se pavane dans son plus simple appareil alors que ses vêtements sont toujours posés dans un coin du lit, celui qui est devenu son côté depuis plusieurs nuits. Il est totalement dépité par la situation. Le but de sa petite promenade nocturne lui est totalement inconnu et c'en est perturbant. Il ne laisse pourtant rien entrevoir et se redresse pour s’asseoir plus confortablement. « Je ne me rappelle pas t'avoir demandé de quitter ce lit. » Dit-il d'un ton suffisant. « Où comptais-tu aller ? » Qu’il lui demande comme s’il s’adressait à une petite prise sur le fait. Il connait déjà la réponse, mais il aimerait l’entendre de sa propre voix.
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Rozen (Windsor)
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MessageSujet: Re: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptySam 28 Juin - 0:19



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C'était la première fois que sa petite culotte disparaissait. Parfois, Endymion la déchirait, parfois, elle volait même dans une autre pièce. Mais Rozen savait toujours où celle-ci – ou tout du moins, les morceaux de celle-ci – se trouvait. Mais pas ce soir et c'était en pestant en silence qu'elle tentait de la retrouver. Bien que Léone n'en aurait rien dit, elle ne pouvait définitivement pas le rejoindre sans sous-vêtement – ce n'était définitivement pas vraiment classe. Se redressant sans avoir retrouvée celle-ci sous le lit de son maître, elle poussa un hurlement strident en écrasant le plat de sa main sur tout le visage de celui-ci en le sentant lui attraper le bras. Appuyant plusieurs fois de la paume sur le nez en gloussant, elle finit par retirer sa main en haussant les épaules. S'il ne voulait pas se faire taper, il n'avait qu' à pas la surprendre comme il venait de le faire. Le regardant en penchant légèrement la tête sur le côté, elle finit par claquer ses deux mains contre les joues du garçons, avant de lui comprimer les joues et de rapprocher son visage du sien. « Tu es endormi, Endycon et ce n'est qu'un rêve. Un rêve profond. Je ne suis même pas ici, tu m'entends, Endycon. Je suis loooooooooin de toi et de ce lit. » Hochant plusieurs fois la tête avec une moue convaincue – un peu comme si elle venait de lui annoncer la plus grande des vérités – elle lui lâcha finalement le visage en apercevant derrière lui – ou plutôt, à moitié sous lui – sa fameuse petite culotte. Lui grimpant alors dessus, se trouvant assise à cheval sur son amant – elle attrapa la petite coquine en poussant un petit cri de victoire. « Je savais que tu n'étais pas loin, coquine. » Elle dit, s'amusant à tirer sur les élastiques du sous vêtement. Elle ne faisait déjà plus attention au garçon nu sous elle, comme si sa petite culotte était bien plus intéressante que lui. Grognant en sentant ses doigts toujours autour de son bras, elle se pencha légèrement pour commencer à lui mordiller les doigts pour le forcer à la lâcher. Oui, elle agissait comme un petit animal sauvage et indompté avec lui – que cela lui plaise ou non. Elle n'avait pas changé d'avis et elle comptait toujours rejoindre Léone dans ses appartements. Continuant de mâchouiller et mordiller ses doigts comme un petit chat, elle finit par redresser ses yeux clairs en direction du prince sorcier. « Tu aurais du me le dire que tu étais un fétichiste des culottes plutôt que d'essayer de me la voler en douce – je te l'aurais donnée tu sais. » Oui, elle était désormais persuadée que c'était le magicien qui lui avait sournoisement pris son petit morceau de tissu et peu importe ce qu'il pourrait lui dire pour lui affirmer le contraire, elle en resterait persuadée. Se tortillant sur lui, en oubliant totalement qu'elle était entièrement nue et lui aussi, elle essaya encore et encore de le forcer à la lâcher pour qu'elle puisse rejoindre son meilleur ami. « Maiiiiiiiis lâche moiiiiii. Sérieux, même endormi t'es relou. C'est encore un truc sorcier pour taré, un somnambulisme pour contrôle freak à l’ego plus gros que le pénis ? » Recommençant à lui mordiller les doigts elle prit un des coussins pour taper plusieurs fois sur le visage du blond, persuadée que cela suffirait à le guérir de son drôle de somnambulisme – ou du moins, à le rendre inconscient de nouveau. De ce drôle de duo, nul doute que ce n'était pas Rozen le cerveau mais bien l'âme et celle qui amenait la vie et la bonne humeur. Quoi que, Endymion ne devait probablement pas être très joyeux à cet instant – et ça n'allait pas s'améliorer. « Léééoooone m'attend lâche moooooi. On a notre soirée chocolat-banaaanes de prévuuuue. » Oui, les deux meilleurs amis se réservaient souvent des soirées rien que pour eux deux où ils faisaient absolument tout et n’importe quoi ensemble, sans personne pour pouvoir les juger où les en empêcher. Ils n'étaient plus l'héritier et l'esclave : il n'était que Belle et Léone – et cela leur allait parfaitement. Se penchant pour mordre l'épaule d'Endymion – persuadée que cela lui ferait lâchée prise – elle n'admettait toujours pas le fait qu'il puisse être réellement réveillé, le garçon l'ayant habitué depuis des années à toujours être profondément endormi chaque fois qu'ils avaient eu l'occasion de passer une nuit ensemble. Et Merlin qu'elles avaient été nombreuses.
 
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Endymion Peyredragon
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Endymion Peyredragon

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ϟ ÂGE : vingt-et-un ans.
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ϟ ALLÉGEANCE : lol, elle est bonne la question.
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MessageSujet: Re: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptyMar 1 Juil - 16:25

Le hurlement qu’elle échappe malencontreusement, le surprend de telle sorte qu’il sursaute lui-même de sa réaction. Son cœur rate un battement et en quelques secondes, son visage passe au blanc avant de reprendre les couleurs qui lui sont propres. Heureusement, Rozen ne le voit même pas, occupée à taper sa main sur son visage. Endymion grogne de mécontentement mais cela ne semble en rien arrêter son petit jeu qu’elle trouve, apparemment, très drôle. N’importe qui aurait osé poser la main sur son visage que sa tête tranchée se serait déjà retrouvée à l’autre bout de la pièce. Peu commode, surtout en plein milieu de la nuit alors que la fatigue se fait ressentir dans chaque parcelle de son corps, le Prince serre un peu plus son emprise sur son bras pour lui sommer de cesser ses activités qu’il juge d’inconcevable. Est-ce qu’elle a vraiment conscience qu’il n’est pas n’importe quel autre sorcier du bas peuple ? « Tu es ridicule, j’espère que tu en as conscience. » De ses yeux perçants, il la jauge et la dévisage alors qu’elle continue son petit ménage en tentant de lui faire croire qu’il est toujours endormi et que tout ceci n’est qu’un mauvais rêve. Il hausse d’un sourcil, intrigué par cette histoire, et l’écoute s’enfoncer un peu plus dans la médiocrité en ne laissant aucune émotion apparente s’inscrire sur son visage. Endymion, il fait ça à merveille. Comme son père, il ne laisse rien entrevoir, pas même l’agacement qu’il ressent à cet instant précis. Il n’a aucune envie de s’amuser, il a simplement envie qu’elle se taise et qu’elle vienne se recoucher auprès de lui pour qu’ils puissent s’endormir et oublier ce mauvais passage de leur mémoire. Mais Rozen semble décidée à n’en faire qu’à sa tête, comme une gamine de cinq ans qui s’agite à l’heure du coucher sous prétexte qu’elle n’est pas fatiguée. Elle se hisse sur lui, l’écrasant de tout son poids pour attraper sa culotte perdue sous les draps, avant de mordiller ses doigts toujours accrochés fermement à son bras. Et en plus, elle le traite de fétichiste, cette fille est complètement folle. Il devrait l’interner pour son bien, mais aussi pour les autres. « Ce n’est pas le cas et même si ça l’était, je n’ai pas besoin de ton autorisation pour la prendre. » Qu’il rétorque, hautain, l’arrogance qui s’entend à chaque mot qu’il prononce avec le plus grand des sérieux. Il est le futur roi, il n’a aucun compte à rendre à personne (ou à si peu) et encore moins à son esclave. Elle est bonne celle-là. Quand il veut quelque chose, il le prend sans un seul mot. Les autres ne peuvent qu’accepter ses choix. Evidemment, sa conception s’effrite au fil du temps, puisqu’il est évident que si un jour, on apprend sa relation avec Rozen, il ne donnera pas cher de sa peau. Elle se tortille contre lui en tentant vainement de l’échapper, réveillant doucement la bête qui sommeille en lui, et recommence à le mordiller comme un chaton en colère. Endymion ne démord pas et ça l’amuse presque de la voir se débattre et le frapper sans parvenir à changer la situation. De sa main libre, il tente d’attraper son oreiller et n’y arrive qu’après qu’ils se soient presque battus tous les deux. De vrais enfants qui cherchent à prendre le contrôle sur l’autre. Plus agacé cependant qu’amusé par leurs échanges, il jette violemment le coussin à l’autre bout de la salle lorsqu’il l’entend lui révéler la suite de la soirée aux côtés de Leone. C’est une blague ? Elle quitte ses draps sentant la fraicheur et l’amour pour ce pouilleux ? Et encore, si seulement elle avait cité quelqu’un d’autres que cet affreux gnome, Endymion se serait probablement montré moins en colère qu’à cet instant. Non pas qu’il ne se sente menacé par lui ou par un autre homme, il n’aime simplement pas partager ce qui lui appartient aux autres et c’est tout à fait légitime de sa part. Rozen recommence à se comporter comme un singe et s’approche de lui pour lui mordre à présent l’épaule. Excédé, il la repousse de sa main valide et décide de la poser sur sa bouche pour qu’elle cesse son petit jeu qui devient plus que fatiguant. « Tu ne quitteras pas ce lit tant que je ne te l’aurai pas dit. » Qu’il lui annonce, grondant de jalousie face à ce qu’elle lui fait subir. Sérieusement ? Leone ? Mais qu’il est affreux ce sorcier, qu’il est inintéressant et dégoulinant. Il mérite si peu de considérations de sa part, il ne mérite même qu’ils en parlent à cette heure-ci. « Et encore moins pour retrouver ce stupide gobelin. » Ne peut-il s’empêcher d’ajouter. Et encore, il est difficile de trouver un véritable mot pour qualifier cette créature. Même un elfe de sorcier est probablement plus intéressant et plus beau que ce Leone de pacotille. « Maintenant, tu cesses tes manières de moldus et tu te recouches. Tout de suite. » Evidemment, aucune négociation n’est possible. Il ne devrait même pas à lui autoriser à revenir auprès de lui après son comportement inacceptable. Même un né-moldu se comporterait d’une meilleure manière.
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MessageSujet: Re: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptyMar 1 Juil - 20:49



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Ce n'était pas la première fois que les deux jeunes gens se disputaient – à vrai dire, ils le faisaient tout le temps – mais c'était la première fois qu'ils le faisaient après avoir couché ensemble. Rozen n'arrivait pas à comprendre que le jeune homme était bien éveillé et qu'il était véritablement entrain de lui parler à cet instant précis. Penchant la tête sur le côté tel un petit chien à qui on faisait la moral, elle regardait Endymion avec de grands yeux écarquillés, comme s'il avait toute son attention. Mais ce n'était pas véritablement le cas – son cerveau était déjà à des kilomètres de là, avec son meilleur ami qu'elle devait rejoindre au plus vite. « Et toi tu commences à bander, chacun son problème Endycon. » Elle répondit, assise tranquillement sur lui comme si de rien n'était. Elle n'avait aucun tabou et elle n'avait pas peur de dire au prince ce qu'elle pensait en permanence. Elle avait conscience qu'avec un autre que lui, elle serait déjà morte depuis longtemps mais elle n'était pas prête à changer pour autant. Elle avait toujours été ainsi et elle mourrait ainsi. Gigotant tranquillement sur le blond, elle continuait de mordiller toutes les parties de son corps qu'elle pouvait atteindre, comme un petit chaton mal éduqué. Et c’était le cas : Endymion avait beau avoir tenté tous les moyens de la discipliner – en vain. Elle n'en faisait toujours qu'à sa tête, étant une tornade blanche incontrôlable qui détruisait tout sur son passage. La chambre du blond en était la preuve formelle : ils l'avaient saccagé tous les deux hier soir et elle ressemblait désormais plus à un champ de batailles qu'à un appartement royal. Elle ricana fortement en lui tapant sur l'épaule à plusieurs reprises avec force, comme s'il venait de lui raconter la plus drôle des plaisanteries au monde. Son rire résonnait tout autour d'eux alors qu'elle passait finalement sa main libre dans les cheveux du prince, les décoiffant un peu plus qu'ils ne l'étaient déjà. « Geeeenre. Ma culotte, c'est ma culotte, que ça te plaise ou pas. Commence à me les piquer et tu te retrouveras sans caleçon, je te préviens. » Elle le menaça avant de hausser les épaules, terriblement sérieuse. Il n'avait pas intérêt à lui piquer ses sous-vêtements ou sa vengeance serait absolument terrible. Prince ou pas, il se devait de respecter certaines choses et s'il pensait vraiment qu'il pouvait s'en prendre à elle et ses dessous comme ça, il se mettait son doigt dans l’œil. Grognant quand il mit sa main sur sa bouche, elle tenta de la chasser avant d'en prendre le coté dans sa bouche et commencer à le mâchouiller comme un chien avec son os à moelle. Bavant et mordillant le tout, elle ne quittait pas du regard son amant, roulant ses yeux dans ses orbites à ses remarques. Il était tellement jaloux que ça en était ridicule : ce n'était pas non plus comme si elle allait fricoter avec son meilleur ami. Leone lui faisait clairement le même effet qu'Hunter et il n'était pas proche le jour où elle accepterait d'écarter les cuisses pour lui. De plus, elle était quasiment sûre et certaine que l’idée même de s'envoyer en elle avec elle suffirait à faire vomir le Poufsouffle. « Depuis quand tu veux que je reste ? Je pensais que tu ne voulais pas de moi ici à ton réveil. » Elle dit, la main du jeune homme toujours à moitié dans sa bouche. Ce n'était pas une remarque stupide en soit, il n'avait à vrai dire jamais rien dit et les sorciers ne voyaient absolument pas d'un bon œil ce qu'ils faisaient ensemble dans le secret de ses appartements. Finissant par repousser sa main alors qu'elle s'installait plus confortablement sur lui, elle vint passer ses bras autour de ses épaules avec douceur en venant coller son corps tout contre le sien avec une petite moue boudeuse sur le visage. « Leone n'est pas un gobelin, c'est mon ami. » Elle dit, venant lui mordiller l'oreille puis le cou à plusieurs reprises, le rapprochant encore plus d'elle alors qu'elle se fondait tout contre lui, appréciant la proximité physique qui était la leur à cet instant précis. Malgré toutes les disputes, malgré les chamailleries elle devait bien reconnaître qu'elle se sentait bien tout contre lui. Ils étaient seuls, ils n'étaient plus le maître et l'esclave et cela lui faisait terriblement du bien. La magie du moment fut cependant rapidement arrêtée et elle soupira longuement et bruyamment à la remarque du blond, laissant ses doigts glisser dans son dos pour le griffer un peu. « Qu'est ce que tu connais des manières moldues, tu n'en connais aucun. » Elle argua en le regardant dans les yeux, avant d’enchaîner. « Et ne me dis pas que tu l'as lu dans un livre, je sais que ce n'est pas vrai. Tu lis jamais des livres sur les moldus – t'aimes pas ça. » Elle avait beau ne pas être la plus intelligente des deux, elle ne manquait pas pour autant de répartie. Elle savait pertinemment qu'il ne connaissait rien sur son peuple et que ce n'était probablement qu'une de ces expressions racistes que son crevard de père devait encore lui avait mis dans le crâne. Cependant, elle ne put s'empêcher de ricaner en pensant à ce fameux roi. Nul doute qu'il s'étoufferait avec son vin s'il savait les pratiques auxquelles son fils s'adonnait avec elle.  
 
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Endymion Peyredragon
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MessageSujet: Re: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptyMar 8 Juil - 0:08

Elle est assise sur lui et gigote depuis qu’elle a réalisé qu’il ne dormait plus, elle ne pensait quand même pas qu’il était aussi insensible que cela ? Après tout, elle est bien placée pour savoir qu’il n’est jamais vraiment rassasié de leurs petites parties de jambes en l’air. Pour preuve, il n’hésite jamais à revenir vers elle lorsqu’il en a l’occasion. Ce n’est pas ce que doit penser la pauvre Siv qui le prend définitivement pour ce qu’il n’est pas. Ca le rendrait presque mal à l’aise s’il n’était pas aussi accroché à Rozen. « Sauf que cela ne te dérange pas, contrairement à ton comportement qui m’exaspère. » Il annonce d’un froid polaire. Il n’y a rien sur son visage qui montre un quelconque malaise sur le sujet qu’elle a volontairement choisi de mettre en avant. Face aux autres, il se montre discret et réservé – certains penseraient qu’il est toujours vierge qu’il n’en serait pas surpris – mais face à Rozen, il n’existe plus aucune barrière. La première fois qu’elle lui avait prononcée de tels mots, il avait été désarçonné, mais avec le temps, il s’était fait à sa brusquerie et sa brutalité. Aujourd’hui, plus rien ne semble le surprendre – à peu de choses près. Elle ne peut pas nier ce qu’il lui a rétorqué, ou alors, ce serait clairement de la mauvaise foi. Il suffit de voir son regard quand leurs lèvres se touchent, quand leurs corps et leur peau se mélangeant dans la nuit. Clairement, le voir enthousiaste ne la déplait pas. Elle continue de jouer à son petit manège sous le regard lassé du prince et même avec son visage particulièrement sérieux, elle ne le prend pas au sérieux et se permet même de le menacer, ce qui a définitivement le don de l’irriter au plus haut point. Elle ne serait pas celle qu’elle était, elle ne serait plus de ce monde depuis bien longtemps. Qui compte se montrer aussi condescendant avec le futur roi, finissait dans les bas fonds du royaume. Il grogne, mécontent de la voir prendre de telles libertés. Ou pour ce geste de folie, il se promet de lui brûler toutes ses culottes devant ses yeux au moment où elle ne s’y attendra pas le moins du monde. « C’est tout ce que tu as ? » Qu’il répond d’un ton désinvolte, la défiant du regard. Il la pensait plus entreprenante et plus inventive. Il s’est peut-être trompé. Il sait pourtant que Rozen est très sérieuse et qu’elle serait capable de lui jouer un tel tour dans le seul but de le rendre plus colérique. A croire qu’elle ne l’apprécie que lorsqu’il la malmène. Ce ne serait pas si étonnant après tout. Une expression de dégout prend place sur son visage alors que ses yeux suivent le filet de bave qui dégouline sur son lit. Décidément, cette fille a tout sauf l’élégance d’une lady. Parfois, il se demande ce qu’il peut bien lui trouver, lui, l’homme d’une si bonne famille. L’exotisme, sans doute… Endymion roule des yeux, se maudissant intérieurement d’avoir à la supporter. La nuit était si belle jusqu’à ce qu’elle ouvre la bouche. « Jusqu’à ce que le soleil se lève. » Et le soleil n’est pas prêt de se lever alors qu’elle revienne donc se coucher auprès de lui, qu’on en finisse de ce supplice. Ce n’est pas qu’il ne voulait pas d’elle à ses côtés, il ne souhaitait simplement pas que quelqu’un finisse par les découvrir. Malgré le fait que l’on ne visitait que rarement ses appartements sans son autorisation, il préférait néanmoins ne pas se risquer à jouer avec le feu. L’histoire deviendrait trop réelle si cela se savait et ça, ce n’est pas quelque chose d’envisageable. Il roule une énième fois des yeux en l’entendant prendre la défense de Leone et dans un geste de la main, fait disparaitre ses mots dans l’air. « Etre ton " ami " ne veut pas dire qu’il n’est pas un gobelin. » Il persiste, ne pouvant s’empêcher de se montrer jaloux et possessif avec lui alors même qu’ils ne sont réellement ce que l’on pourrait appeler d’un couple. Le fait que Leone se montre aussi prévenant et aussi proche qu’elle ne peut, selon lui, n’avoir qu’un but précis. Ses intentions ne sont clairement pas aussi bonnes qu’elles n’y paraissent. Il ne bouge pas d’un cil lorsqu’elle vient lui offrir quelques gestes tendres, toujours aussi tendu de l’imaginer passer une soirée en toute intimité avec son pire ennemi. Il attrape ses bras pour les repousser plus loin quand elle le griffe impunément, puis hausse des épaules après ses paroles. Avec un naturel déconcertant, il lui répond comme s’il lui annonçait l’heure : « J’en ai assez entendu pour assouvir ma curiosité. » Des autres sangs-purs, de son père et de certains professeurs, tout ce qu’on lui avait toujours répété était des horreurs qui ne faisaient que confirmer ce qu’il pensait des moldus. Endymion n’avait jamais pris la peine de lire des bouquins sur eux pour la simple et bonne raison qu’il ne pensait pas cela nécessaire. Après tout, rien ne pourrait vraiment changer son opinion, ancré en lui depuis sa plus tendre enfance. Et comme pour se justifier et lui prouver qu’il sait certaines des choses sur eux, il ajoute : « Ils sont incapables de vivre en communauté, se déchirent sans la moindre pitié, se battent comme des chiffonniers. Certains tuent leurs comparses pour les manger. Ils ont même crée des instruments pour se torturer les uns des autres, ne me dis quand même pas que tu adhères à leurs idées ? » Il gronde à sa question, lui lançant un regard hautain, tous les pores de sa peau suintant l’arrogance et la condescendance. Gare à sa réponse.
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DIVINE MOVE ϟ Je m'empresse de rire de tout de peur d'être obligée d'en pleurer. rozymion


ϟ ÂGE : vingt-et-un ans.
ϟ CURSUS : awkward turtle option chieuse professionnelle.
ϟ ALLÉGEANCE : les rebelles.
ϟ BUT : endymion, tête de con.
ϟ EPOUVANTARD : ses proches, brûlés vifs.
ϟ PATRONUS : aucun. (faucon)
ϟ MIROIR DU RISED : son peuple, enfin libre.

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MessageSujet: Re: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptyJeu 10 Juil - 16:56



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rozymion ▬ my only love sprung from my only hate! too early seen unknown, and known too late! prodigious birth of love it is to me, that i must love a loathed enemy.

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L'intimité n'existait pas réellement entre Endymion et Rozen. Les deux jeunes gens étaient presque en permanence ensemble et avaient vu des parts de l'autre que personne d'autre n'avait ne serait qu'entraperçus jusqu'à ce jour. Déjà d'un tempérament honnête et direct, l'impulsivité et la trouble sincérité de la princesse ne faisaient que s'amplifier en présence du princes, comme si elle était bien décidée à le mettre en permanence en colère. Elle devait bien reconnaître qu'elle adorait le faire sortir de ses gonds et que cela était devenu l'un de ses petits plaisirs coupables. Elle ne comprenait pas pourquoi il n'y avait pas plus de personne pour titiller le prince – ils ne savaient pas ce qu'ils rataient à lui lécher les bottes plutôt qu'à les lui lancer en pleine tête. "... Tu vas avoir l'air malin à devoir t'en débarrasser tout seul, ça me donnerait presque envie de rester ici juste pour regarder ça." Elle répondit avec un air sardonique, secouant la tête dans tous les sens tel un chien fou – gigotant de plus belle sur lui. Elle le rendait complétement fou mais elle ne s'en était jamais rendu compte. Il faut dire qu'elle pensait qu'il n'avait aucune affection pour elle et qu'il ne faisait que se servir de son corps. Assise sur lui, elle répondait à chacune de ses remarques par une nouvelle provocation – amenant le jeu toujours plus loin. Si le blond était décidé à rester impassible à chacune de ses remarques, la blanche comptait bien s'amuser pour deux. Ricanant à sa remarque, elle vint finalement caresser lentement sa joue du bout du doigt, lui pinçant la pommette. "Oh non. Après m'en être pris à tes dessous je ferais en sorte de remplacer chacun de tes petits plats par une préparation de choix réalisé par mes bons soins et on sait tous les deux comment ça se terminera une fois que tu auras mangé tout ça, pas vrai mon petit con?" Un sourire moqueur vint arrondir la courbe de ses lèvres alors qu'elle se mettait à tapoter sur le ventre du sang-pur pour l'embêter. La seule fois où elle avait bien voulu cuisiner pour lui, il avait eu la diarrhée et des vomissements incontrôlés pendant plusieurs jours et elle était plus que sûre qu'il ne voulait pas réitérer l'expérience. Pas plus qu'elle pensait autrefois qu'il voulait d'elle à ses côtés. La tête penchait sur le côté, elle l'écoutait comme un chien bien docile et adorable qui s'apprêtait à faire une bêtise dès que son maître aurait fini de parler pour raconter n'importe quoi. Haussant un sourcil elle commença à jouer avec les doigts du blond qu'elle prit entre ses mains, les embrassant et les mordillant en même temps. "Comment je suis censée savoir quand le soleil se lêve si je suis endormie?" Elle marquait un point. Par moment la jeune fille avait des éclairs de génie sortis de nulle part qui pouvaient désarçonner ceux qui ne s'y attendaient pas de sa part. Pourtant, malgré sa simplicité et sa fraicheur la jeune fille avait un bon esprit de répartie qui la rendait capable de ne pas se laisser bouffer par ses adversaires au cours des joutes verbales. Endymion aurait du le savoir depuis le temps – comme il aurait dû savoir qu'elle ne le laisserait jamais insulter son meilleur ami sans lui rendre la balle. "Alors coucher avec moi ne veut pas dire que tu n'es pas un troll. Tu en as le cerveau en tout cas." Elle lui balança, lui tirant la langue avant de se mettre à rire furieusement à sa remarque sur les moldus, son peuple d'origine. Riant aux éclats, elle se laissa tomber sur lui alors que déjà elle tapait du poing sur le coussin à côté de lui, presque hystérique. Elle riait tellement qu'elle en avait mal aux côtés et que sa voix résonnait comme un écho tout autour d'eux dans la pièce. Elle eut énormément de mal à s'arrêter, alors qu'une de ses mains se posait déjà sur sa poitrine qui se soulevait rapidement au rythme de sa poitrine saccadée. "Non mais tu es sérieux?! C'est quoi ces conneries que tu racontes? Tu crois vraiment qu'ils sont comme ça ou tu déconnais juste?" Elle commença en secouant la tête, et par la même occasion sa longue crinière blanche alors que finalement, elle se redressait – toujours sûr lui – ses bras se reposant sur son torse musclé alors qu'elle le remontait du bout des doigts. "Tu voudrais que j'adhère aux vôtres – aux tiennes – peut être? Vous, le peuple qui pensait sincèrement avoir le droit de juger des gens sur leur sang plutôt que sur leur valeur, vous qui pensez pouvoir mettre en esclavage des gens juste parce qu'ils sont différents." Elle se tut alors qu'elle reprenait finalement en chuchotant, ses yeux se plongeant dans les siens "Toi, qui pense sincèrement me posséder?" Elle le défiait désormais, ses ongles se plantant dans sa peau, son regard brûlant du feu de l'insoumis, de celui qui ne courbera jamais l'échine face à qui que ce soit. Elle était atterrée de voir à quel point le prince pouvait mal connaître les siens, les penser comme des sauvages alors que c'était eux qui faisaient du mal et qui faisaient régner l'injustice. C'était risible.  
 
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ϟ ÂGE : vingt-et-un ans.
ϟ CURSUS : huitième année, gouvernance magique.
ϟ ALLÉGEANCE : lol, elle est bonne la question.
ϟ EPOUVANTARD : les têtes coupées de sa famille et de ses plus proches amis dansant autour de lui.
ϟ PATRONUS : un faux-con.
ϟ MIROIR DU RISED : sa mère encore en vie, lui effleurant presque sa main du bout de ses doigts fins.


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MessageSujet: Re: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptyVen 18 Juil - 14:00

« N’y compte pas trop. » Qu’il rétorque en roulant des yeux. Il ne lui fera clairement pas ce plaisir-ci. Persuadé qu’elle ne pouvait – de toute façon – pas résister à son charme, il savait qu’elle cherchait surtout à l’agacer plus qu’il ne l’était déjà. Et Merlin comme elle y arrivait même alors qu’il cherchait tant bien que mal à garder son calme. D’un tempérament fougueux, il ne prenait conscience de ses actes et de ses mots qu’après les lui avoir dits. Par ce fait, Rozen avait tout le loisir de le rendre complètement fou. Après tout, ils avaient grandi ensemble et elle connaissait toutes ses failles, même les plus petites. Elle recommence à gigoter sur lui comme un asticot. D’une humeur massacrante, il ne compte pas la laisser gagner son manège. Exaspéré par son petit jeu qui ne fait rire qu’elle, il finit par la repousser d’un coup de hanche pour qu’elle tombe sur sa droite et quitte son entrejambe qu’il sentait déjà fébrile. Elle revient néanmoins à la charge et le blondinet ne peut s’empêcher d’afficher un air perplexe face à sa douce caresse sur sa joue. Rozen se montre rarement affectueuse avec lui et lorsque cela arrive, elle a toujours une idée dans la tête. Elle n’est pas si différente que lui, finalement. Elle aussi joue avec les armes qui sont à sa disposition. Ses gestes sont toujours calculés pour le mettre dans tous ses états. Il n’y a jamais rien sans un intérêt derrière. Elle aurait pu être une parfaite épouse si elle n’était pas que son esclave. En plus d’être manipulatrice, Endymion remarque qu’elle a l’esprit tordu et la notion de vengeance qui correspondent à sa vision d’un bon monarque. « Tu te penses maligne mais sache que c’est moi qui possède tous les pouvoirs. » Qu’il annonce en prenant son même ton et son même sourire moqueur. Mais contrairement à elle, il se montre plus réservé et ne se permettrait pas de les utiliser. S’il le souhaitait réellement, il pourrait simplement la remplacer par une autre. Après tout, elle ne lui sert à rien si ce n’est lui causer des maux de tête. Au fond de lui pourtant, même si Endymion ne pourra jamais se l’avouer véritablement, il est beaucoup trop attaché à elle pour pouvoir la laisser s’en aller. Il se tourne vers sa gauche pour parader ses petits coups sur son ventre, et échapper à ses constants assauts. Et quand elle cesse enfin pour finalement se concentrer sur ses doigts, Endymion hausse des épaules, peu concerné par ses propos. « Tu te débrouilles, ce n’est pas mon problème. » Il donne les ordres et elle se débrouille pour les exaucer. Ca a toujours marché comme ça depuis son plus jeune âge avec tous ses domestiques, la règle ne changera pas pour ses beaux yeux. Après tout, ils sont bien là pour le servir, la manière dont ils procèdent pour pouvoir le satisfaire ne le concerne pas. Le prince souffle, exaspéré par la description qu’elle fait de lui. Un troll, lui ? Et puis quoi encore ? Contrairement à son « meilleur ami » dont l’origine peut parfois être remise en question tant son physique et son comportement semblent parfois incongrus, Endymion ressemble en tout lieu à un futur roi. Il a tout ce qu’on pourrait rêver, et il assume pleinement sa beauté, son charisme et son intelligence qui font tous les jours des ravages à l’école. Il n’aurait pas de si bonnes notes s’il était vraiment un troll. « C’est bien les esclaves ça, la perception vous vous faites de la réalité est totalement fausse. » Qu’il répond, comme s’il lui pardonnait presque d’être aussi stupide. Après tout, ce n’est pas sa faute, elle n’est qu’une esclave parmi tant d’autres, elle n’a pas eu l’éducation que lui a eu la chance de recevoir. Et ça ne l’étonne même pas de l’entendre débiter des paroles tous plus insensés sur ses propres convictions. Il regrette de lui avoir demandé son avis puisqu’après tout, il aurait dû se douter que sa réponse ne serait pas aussi satisfaite qu’un sorcier avec de véritables connaissances en la matière. « Et tu vas me faire croire que ce n’est pas le cas dans votre monde ? Laisse-moi rire, je ne suis pas aussi ignorant que tu le penses, on m’en a raconté. » Qu’il lui dit sans pour autant se mettre à rire tel une hyène, comme elle l’avait fait quelques minutes auparavant. Son père lui a dit et il a très rarement tort. Du moins, il a toujours eu raison sur les choses dont il lui avait raconté plus jeune, alors c'est surement vrai pour le monde moldu. Et lorsque vient sa dernière question, Endymion roule sur elle pour la plaquer sur le lit, échangeant les rôles, la couverture séparant toujours leurs deux corps d’une fine barrière. Ses mains tiennent les siennes fermement contre le drap pour qu’elle ne puisse faire aucun mouvement. Elle ne peut plus s’échapper, elle est entre ses griffes. « Tu le sais que j’ai raison. Tu m’appartiens. » Qu’elle le veuille ou non, elle est à lui. C’est marqué dans le contrat qu’on lui avait donné après qu’il l’ait acheté au marché. Si ça, ce n’est pas une preuve…
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MessageSujet: Re: rozymion △ these violent delights have violent ends rozymion △ these violent delights have violent ends EmptyLun 21 Juil - 22:59



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« Pourquoi, ton père t'a pas encore appris comment on faisait quand on était tout seul pour ce genre de choses ? » Elle se moqua avec un sourire en coin des lèvres, venant lui pincer la hanche. Elle aimait bien l'embêter et clairement, elle se doutait que le roi n'avait pas du prendre le temps d'expliquer à son fils où il devait mettre son pénis et comment s'y prendre avec. Clairement, sinon, ce ne serait pas entre ses cuisses qu'il viendrait se soulager aussi souvent mais entre celles de sa catin guindée qui pétait plus haut que son cul. Elle embêtait le prince depuis qu'ils s'étaient rencontrés et ce n'était pas aujourd'hui qu'elle allait arrêter de se comporter avec lui comme une sale petite peste. Ils avaient beau vieillir, leur relation restait globalement la même et elle aimait ça. Elle aimait cette espèce de complicité étrange qu'il y avait entre eux. Ils avaient beau être ennemis, elle avait beau lui souhaiter des selles douloureuses et une diarrhée sans fin, il y avait ce petit truc en plus entre eux qu'elle n'arrivait à trouver avec personne d'autre. Ils étaient uniques – ils n'étaient qu'un. Mais ce n'était pas une chose à laquelle elle voulait penser, pas maintenant. Jamais en fait. Cela complexifiait bien trop les choses. Tout était déjà impossible entre eux et en plus du poids de leurs sangs, ils portaient sur leurs épaules les haines de leurs ancêtres et ils n'étaient probablement pas assez fort pour surpasser cela. Ricanant de nouveau à sa remarque, elle haussa les épaules tranquillement comme si elle remettait en cause ses affirmations. Et c'était le cas. Elle devait être la seule dans tout le royaume à remettre l'autorité du prince en cause et cela l'agaçait. Et plus Endymion était agacé, plus Rozen était heureuse. Un véritable cercle vicieux. « Et mon cul c'est du poulet ? » Elle roula des yeux, mutine alors qu'elle venait effleurer ses lèvres des siennes, avant de changer légèrement la trajectoire de ses lèvres pour venir lui mordiller la pommette. Ce premier geste lui avait presque échappé mais ils ne faisaient pas ça, Rozen et Endymion. Ils ne s'embrassaient pas en dehors de leurs étreintes charnelles, ils ne se câlinaient pas, ils n'agissaient pas comme un vrai petit couple. Tout bonnement parce qu'ils n'en étaient pas un et qu'ils n'en seront jamais un. Il n'y a pas de « nous » dans leurs bouches, ils n'en ont jamais parlé et ne le feront pas. Ils ne le pouvaient pas. Et même si pour une fois, les désirs secrets de son cœur ont failli la trahir, elle s'était reprise au dernier moment. Et bien sûr, l'un comme l'autre feront mine de n'avoir rien remarqué. C'était bien plus facile comme ça. « Et si c'était toi qui te levais et te cassais hein ? Les autres ils me forcent jamais à me lever. » Hunter, Léone, Cato – peu importe, les nombreux amis de la jeune fille la laissaient toujours tranquille quand elle pionçait et même les faisceaux lumineux mis en place pour chasser les esclaves de leur dortoir n'ont jamais eu effet sur elle. Une marmotte – voilà ce qu'elle avait du être dans une autre vie. C'est classe, c'est poilu. Et on a beau la faire chier que ça ne change rien. Rozen était une marmotte. Et une tortue aussi – surtout pour ce qui était du cerveau. « Ah ouais, dis moi tout alors puisque tu es si inteeeeeeeellligent. » Elle mit ses mains sur ses hanches en le dévisageant avec scepticisme. Le blond était un pédant, elle le savait depuis longtemps mais elle voulait voir ce qu'il allait bien pouvoir lui sortir. Les idioties des sorciers la faisaient souvent rire et elle ne savait vraiment pas où ils allaient chercher toutes les stupidités qu'ils pouvaient se raconter mutuellement. A croire qu'ils n'avaient clairement jamais mis un pied dans le monde réel – le monde des moldus. « Et à ce qu'on raconte, le prince est toujours puceau. Et bizarrement, je suis quasiment sûre que ce n'est pas vrai. » Elle le regarda en haussant un sourcil, elle défiant clairement du regard. Il pouvait toujours essayer de nier mais il n'en paraîtrait que ridicule. S'il était au moins à moitié aussi intelligent que ce qu'il aimait croire, le prince devait se douter qu'il ne fallait jamais se fier aux racontars – et cela concernait aussi bien le monde sorcier que celui des moldus. Ces derniers n'étaient pas des cannibales tout comme le futur roi n'était pas vierge. Voilà tout. Elle hoqueta mais réagit finalement à peine quand il intervertit leurs positions, se contentant de le regarder avec cet air toujours un brin insolent et moqueur – qui ne tarda pas à devenir insoumis et sauvage. Encore et toujours la même discussion, la même dispute. Et cette nuit encore, elle n'est pas prête de changer d'avis. « Tu crois que parce que tu possèdes un vulgaire morceau de papier acheté à un crevard ça te donne un quelconque droit sur moi ? Tu rêves, Endymion. Je ne serai jamais à toi --- peut importe ce que tu fais ou dit. » Elle répondit avec sarcasme et force dans la voix, alors que déjà, ses hanches se mouvaient contre les siennes pour tenter de le repousser plus loin, n’entraînant que plus de frictions entre leurs corps déjà tendus et alanguis, en manque du contact de l'autre. Les yeux dans les yeux, elle est tel l'animal sauvage qui refuse de se faire mater et qui continuera jusqu'à la fin à mordre les doigts qui veulent le dresser, l’enchaîner. L'enfermer. Jamais, ô grand jamais, elle ne lui cédera.  
 
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